100.
Tandis que j’achève ce journal, à nouveau Houei-neng se rappelle à moi : « N’ayez de demeure ni intérieure ni extérieure ! Allez et venez en toute liberté ! Rejetez seulement de votre esprit ce à quoi il s’accroche1 ! » Voilà mon seul viatique.
1.
J. Brosse, Les Maîtres zen, Paris, Albin Michel, 2001, p. 97.