REMERCIEMENTS
Je tiens à exprimer en tout premier lieu mon immense gratitude à ma femme Dominique qui partagea tous les instants de ma longue enquête dans la Cité de la joie et fut une collaboratrice irremplaçable pendant la préparation de ce livre.
J'adresse aussi toute ma reconnaissance à Colette Modiano, Paul et Manuela Andreota, et Gérard Beckers qui passèrent de longues heures à corriger mon manuscrit et m'aidèrent de leurs encouragements et de leur inépuisable connaissance de l'Inde.
Je remercie aussi tous mes amis en Inde qui facilitèrent mes recherches avec tant de générosité et rendirent si agréables et fructueux mes nombreux séjours dans ce pays. Il me faudrait plusieurs pages pour les citer tous, mais j'aimerais mentionner en particulier Amit, Ajit et Meeta Banerjee ainsi que Mehboob Ali, Pierre Ceyrac, Tapan Chatterjee, Ravi Dubey, Behram Dumasia, Christine Fernan-dès, Georges et Annette Frémont, Adi Katgara, Ashwini et Renu Kumar, Anouar Malik, Harish Malik, Jean Neveu, Camellia Panjabi, Nalini Puro-hit, Gaston Roberge, Emmanuel et Marie-Dominique Romatet, James et Lallita Stevens, Baby Tha-dani, Amrita et Malti Varma, Francis Wacziarg et Aman Nath.
J'invite les lecteurs de « La cité de la joie » à lire les ouvrages qui ont contribué à nourrir mon enquête, en particulier les remarquables livres suivants : «Calcutta» par Geoffrey Moorhouse (Weidenfeld and Nicolson) ; « Les hermaphrodites » par Gérard Busquet et Carris Beaune (Éditions J.-C. Simoen),; « Le sanglot de l'homme blanc » par Pascal Bruck-ner (Éditions du Seuil) ; « Shantala » par Frederick Leboyer (Éditions du Seuil).
J'adresse également ma très vive reconnaissance à ceux qui n'ont cessé de m'entourer de leurs encouragements et de leur affection pendant la longue et difficile aventure que furent l'enquête et la rédaction de ce livre, en particulier Alexandra et Frank Auboyneau, Jacques Acher, Julia Bizieau, Bernard et Véronique Blay, Ghislain et Dominique Carpen-tier, Juliette Carassone, Jean-François et Claudine Clair, Brigitte Conchon, Marie-Benoîte Conchon, Marie-Joseph Conchon, Jacqueline de la Cruz, Georgette Decanini, Anne-Marie Deshayes, René et Thérèse Esnault, Gilbert et Annette Etienne, Raymond Fargues, Jean et David Frydman, Maurice Gambach, Louis et Alice Grandjean, Denise Guernier, Danièle Guigonis, René Guinot et Manuel Dos Reis, Jacques et Jeannine Lafont, Robert et Marie-Ange Léglise, Adélaïde Oréfice, Marie-Jeanne Montant, Léon et Christiane Salem-bien, Tania Sciama, Paule Tondut, Josette Wallet.
Sans la confiance enthousiaste de mon agent littéraire et ami Morton L. Janklow et de mes éditeurs, je n'aurais jamais pu écrire ce livre ni produire ses nombreuses éditions. Que Robert Laffont, Bertrand Favreul et leurs collaborateurs, à Paris ; Tom Guinzburg, Sam Vaughan, Henry Reath, Kate Medina et Larry Kirshbaum, à New York ; Mario Lacruz, à Barcelone ; Giancarlo Bonacina et Luigi Sponzilli, à Milan ; Anthony Cheetham, Mark Booth, Susan Lamb et Louise Weir, à Londres ; Peter Gutmann et Hans Evald Dede, à Munich; Antoine Akveld et Robbert Ammerlaan, à Amsterdam ; Geraldo et Marcos Perdra, à Rio de Janeiro ; Harkin Chatlani et Melroy Dickson, à Bombay ; et enfin mon amie, collaboratrice et traductrice Kathryn Spink, elle-même auteur d'un admirable livre sur Mère Teresa intitulé From the Brotherhood of Man under the Fatherhood of God, soient donc chaleureusement remerciés.
J'adresse aussi toute mon admiration et ma reconnaissance à mes amis Claude Berri, Paul Ras-sam, Jake Eberts et Roland Joffé pour le film magnifique qu'ils ont su réaliser à partir de l'épopée de courage, de foi et d'espérance de La Cité de la joie. Que soient aussi remerciés Charles Van Haecke et le groupe du Forum de l'Espoir de l'Institut Supérieur de Gestion de Paris, ainsi que Gaétan Brizzi, Jean-Daniel Pigasse et son équipe d'Ex Machina, Claude Blot, Jean-Claude Decaux, Roger Hatchuel et Nicolas Sarkozy pour leur dévouement à la cause des héros de ce livre.
Enfin, que tous ceux qui m'ont accordé tant de leur temps pour me permettre de rassembler la documentation de ce livre, mais qui ont tenu à garder l'anonymat, reçoivent l'expression de mon indéfectible gratitude.