Remerciements
Karen Anderson, ici encore, m’a été d’une aide infiniment précieuse dans le domaine décousu de mes connaissances en langues et en histoire. Son travail sur le dernier chapitre de Éon a posé plusieurs pierres des fondations de l’Oikoumenë dans cette suite. Adrienne Martine-Barnes a bien voulu mettre quantité de documents à ma disposition. Je n’ai pas tenu compte, à mes risques et périls, de ses observations précises sur l’architecture de Rhodes, afin de démarquer les profondes différences historiques propres à Rhodes. Brian Thomsen, éditeur illustre, a donné sa foi, sa confiance, et a pris des risques. Il a aussi travaillé vaillamment pour empêcher ma prose de trop tituber. Qu’il ne soit fait aucun reproche à toutes ces estimées personnes. Les erreurs de ce livre me sont entièrement imputables, à moi ou peut-être à mon ordinateur.