Je ne saurais citer tous ceux qui m’ont aidée de leurs indications bibliographiques ou m’ont donné accès à leur documentation.

Pourtant, je tiens à remercier tout particulièrement mes amis, historiens et chercheurs en sciences humaines Amouzouvi Akakpo, Adame Ba Konare, Ibrahima Baba Kake, Lilyan Kesteloot, Elikia M’Bokolo, Madina Ly Tall, Olabiyi Yai, Robert Pageard et Oliveira dos Santos.

Grâce à eux, cette fiction ne prend pas trop de liberté avec le réel.