Lettres à Diego Rivera
31 janvier 1948
(…) Comme toujours, quand je m’éloigne de toi, j’emporte dans mes entrailles ton monde et ta vie, et de cela je ne peux me remettre.
Ne sois pas triste – peins et vis –
Je t’adore de toute ma vie…
*
23 février 1948
(…) Malheureusement je ne suis plus bonne à rien et tout le monde a usurpé ma place dans cette chienne de vie (…)
Je t’aime tant que les mots ne suffisent pas…