Un certain nombre de gens méritent d’être mentionnés pour l’aide qu’ils m’ont apportée dans la réalisation de ce livre. Je ne tiens pas à les livrer ici dans un ordre particulier, alors je plonge tête la première.
Robin Carter pour ses relectures intensives et ses commentaires précieux. Oui… son nom apparaît dans le livre, comme vous, lecteurs, avez pu le constater. Pour des raisons légales évidentes, je dois aussi déclarer que toute coïncidence… et que toute ressemblance… serait purement… blablabla. Un super nom pour un personnage, en tout cas. Je veux aussi remercier Andy Canty pour la correction sur épreuves et ses commentaires. Encore un autre prénom qui figure dans le roman ! Quel drôle de monde plein de coïncidences.
Toute ma reconnaissance à quelqu’un que je ne peux nommer ici, pour des questions de sécurité, et qui m’a donné de précieux renseignements de terrain sur l’Irak. Je lui adresse ma gratitude dans l’anonymat, car les choses doivent en être ainsi.
Je tiens à remercier ma femme, Frances, pour avoir lu le premier jet. Je dois aussi m’excuser pour l’avoir fait pleurer avec la seconde version. Ses remarques furent nombreuses et variées ; vous ne saurez jamais vraiment à quel point elles m’ont été précieuses. Papa (Tony) et frangin (Simon), merci à vous deux pour vos encouragements. Un remerciement également à Jerry Stutters pour les détails militaires.
Enfin, merci à mon éditeur, Jon Wook, et à mon agent, Eugenie Furniss, pour avoir travaillé à mes côtés et m’avoir aidé à affiner cette histoire et à en avoir fait quelque chose de meilleur encore.