43) – Cela peut sembler drôle, et tel doit être le cas, mais ici, chez moi, penché sur les papiers, j’ai cessé de traduire en parvenant à ces mots, et j’ai regardé en arrière, inquiet. Bien sûr, il n’y a que de l’obscurité (j’ai l’habitude de travailler dans mon bureau avec une lampe, rien de plus). Je dois attribuer ma conduite au mystérieux sortilège de la littérature, qui à cette heure de la nuit parvient à confondre les esprits, comme dirait Homère. (N.d.T.) ↵