14) – Quelques lacunes du texte – dues à des mots écrits "précipitamment" qui sont "illisibles", d’après Montalo – rendent difficile la compréhension de ce mystérieux paragraphe. L’eidesis implicite semble être la "rapidité" comme c’est le cas depuis le début du chapitre, mais il s’y ajoute des images de cerfs, non de sangliers : "yeux de biche", "cornes des branches"… ce qui suggère non le troisième mais le quatrième des travaux d’Hercule : la poursuite de la si rapide biche de Cérynie. Cette altération particulière de l’ordre des travaux ne me surprend pas, puisqu’elle était fréquente chez les écrivains de l’Antiquité. Ce qui retient l’attention est la nouvelle eidesis qui ressort dans le texte : une jeune fille qui tient un lys. Quel est le rapport avec la poursuite de la biche ? S’agit-il d’une représentation de la pureté de la déesse Artémis, à qui le légendaire animal était consacré ? En tout cas, je ne crois pas qu’on puisse la considérer, comme l’affirme Montalo, "comme une licence poétique sans aucune réelle signification". (N.d.T) ↵