7) – Je traduis littéralement "la tête de la figue", bien que je ne sache pas très bien à quoi se réfère l’auteur anonyme : il est possible qu’il s’agisse de la partie la plus épaisse et charnue, mais il peut tout aussi bien s’agir de la zone la plus proche de la queue. Et la phrase est peut-être juste un procédé littéraire destiné à mettre l’accent sur un terme, "tête", qui semble gagner de plus en plus de terrain comme nouveau mot eidétique. (N.d.T.) ↵