COMBINAISON DE TRAVAIL DANS L’ESPACE.

C’est une combinaison de travail rigide autoréparable destinée aux humains travaillant dans un environnement hostile. La combinaison est équipée de phares de forte intensité et d’une radio à antenne semi-directionnelle. Tous les systèmes de la combinaison sont totalement informatisés et comprennent des ordinateurs diagnosticiens pour tous soins et réparations en campagne.

Les mouvements de celui qui revêt la combinaison sont augmentés. Non seulement elle amplifie énormément les forces humaines mais elle est des plus flexibles. Elle a des « mains » supplémentaires à l’extrémité d’extenseurs fixés et repliés dans des poches soudées au niveau des cuisses. Les « mains » de base sont des grappins à usages multiples, avec entre autres des micromanipulateurs lumineux destinés à accomplir les travaux délicats dans l’obscurité, et des chalumeaux à laser.

 

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LES CLEFS DU PÉRIHÉLION.

Les clefs sont des engins de transport capables de déplacer celui qui en est muni jusqu’au Périhélion, le lieu le plus proche de tous les autres lieux de l’univers. Les clefs sont métalliques, argentées, polies comme un miroir et d’une seule pièce. Elles fonctionnent si l’on presse chacun des quatre coins à tour de rôle, ce qui fait apparaître un bouton carré dans le dernier coin, face à l’utilisateur. Utilisée correctement, la clef transporte d’abord l’usager au Périhélion et, de là, à la destination choisie.Au lieu d’être préprogrammées pour les différentes espèces, les clefs sont « immatriculées » quand elles sont utilisées pour la première fois et, par la suite, ne peuvent fonctionner que pour ce type d’organisme ; mais il est possible de reprogrammer une clef pour la mettre dans un état de « non-immatriculation ». Les clefs peuvent être utilisées par n’importe quelle espèce, même par les robots qui n’ont donc pas besoin de clef « spéciale robots ».

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RESPIRATEURS.

Ces masques sont en plastique gris et destinés à être portés sur le milieu du visage, comme une paire de lunettes de soleil intégrales. Les attaches du respirateur sont des tubes élastiques qui se rejoignent sur la nuque. Un tube flexible d’arrivée de gaz part de là vers une cartouche, assez petite pour être fixée sur le haut du bras. Le bord inférieur de ces masques particuliers ne s’applique pas complètement sur la lèvre supérieure, la solution de continuité permettant le mélange de l’atmosphère extérieure avec l’oxygène pur fourni par la cartouche. Non seulement ce dispositif réduit l’importance de la cartouche mais il ne prive pas le porteur du sens de l’odorat.

 

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CAPSULE DE SURVIE MASSEY G-85.

C’est un module de sauvetage à durée limitée et automanipulation, équipé d’un compagnon positronique. La G-85 fournit un environnement complet aux naufragés, comprenant des vivres, de l’eau, de l’oxygène, un écran d’observation et des possibilités de distraction. Le compagnon positronique est programmé pour servir de thérapeute et assurer les meilleures chances de survie aux naufragés de l’espace, ses capacités allant jusqu’à l’anesthésie. Les capsules de survie Massey n’ont pas de hublots mais possèdent un capteur à ventouse en forme de disque, glissant sur la surface extérieure lisse du petit engin spatial. Les ressources des G-85 sont limitées à une quinzaine de jours. Ces capsules sont également équipé d’une signalisation de position, qui diffuse en permanence les positions de l’engin. Les capsules de survie Massey sont le principal système de sécurité à bord des grands vaisseaux de ligne, l’équivalent du canot de sauvetage.