Après une semaine de débats, un édit est promulgué. Le concile reconnaît au clergé la justesse de ses décisions qui ont désormais, par la grâce royale, force de lois. Par ailleurs, le concile promet à la noblesse réparation des préjudices causés par des années de guerres et de querelles intestines. Ainsi se dessine une mise en ordre des affaires du royaume. En fait, avec habileté diplomatique, Clotaire II crée les conditions nécessaires à l’avènement d’un pouvoir royal solide et centralisé.