« Dormir, rêver peut-être, ah ! c’est là l’écueil…1 »

Dormir, marcher en rêve, ah ! c’est là l’écueil…

En m’excusant auprès de Shakespeare de le paraphraser, mettre en scène un somnambule qui aurait pu commettre un crime au cours d’une crise était une idée qui m’a fascinée au point de devenir réalité.

Mes remerciements à Jane O’Rourke, infirmière à l’hôpital des troubles du sommeil de Pascal Valley qui m’en a si aimablement expliqué le fonctionnement. Je suis également redevable aux publications et aux sites de l’Internet qui offrent des informations en quantité sur ce sujet, et en particulier aux auteurs suivants : Marion Howard ; Rosalind Cartwright, Ph. D. ; et Fumiko Konno.