Un grand merci à Héloïse Narfin-Séris, psychothérapeute via Internet et spécialiste de l’agoraphobie, pour ses conseils ; à Pascale Turcaud, psychiatre et ancienne interne associée à l’univers carcéral psychiatrique pour sa relecture technique ; à Alain Laurens, pharmacognoste passionné et enthousiaste pour ses connaissances innombrables en matière de plantes et propriétés ; à Hans Klingel, mon cher ami, professeur et biologiste allemand, rencontré en Ouganda pour ses connaissances en swahili ; à Pierre Tchoreloff, professeur et directeur de recherches à l’université d’Orsay pour ses contacts. Merci à mes sœurs Lydie et Laetitia et à mon amie Frédérique pour leurs critiques très constructives. Un immense merci à Laurent Laclau-Lacrouts, major à la police judiciaire de Paris pour ses conseils précieux, ses utiles suggestions, et sa motivation à me faire découvrir l’univers de la PJ ; merci à Christine, sa femme, commissaire divisionnaire pour sa lecture technique et ses encouragements. Merci à Pierre Yonas, qui m’a aidée à choisir mon éditeur. Merci du fond du cœur à Stéphane, mon mari, pour ses encouragements sans fin, avant, pendant et après l’écriture de ce roman. Je n’aurais pu concevoir ce premier roman sans cette confiance révélée lors de la collaboration qu’il m’a offerte à l’écriture des Carnets afghans. Merci à Charles, mon fils, qui ne cesse de m’inspirer.