II.
Jeunes et beaux spécimens
La collecte mondiale
d’organes, un marché noir en plein essor ; un rein récolté
toutes les heures.
J. D. Heyes,
NaturalNews
Dimanche 3 juin
2012
En ces temps de
communication de masse où il est difficile de cacher quoi que ce
soit, il existe un phénomène qu’il faut révéler au plus grand
nombre : comment le trafic d’organes est devenu un commerce
mondial dont la pratique s’est tellement généralisée qu’il se vend
un organe toutes les heures.
C’est ce que déclare
l’Organisation mondiale de la santé, qui a récemment fait part dans
un rapport de sa crainte que le marché noir d’organes ne
réapparaisse.
Une forte demande de
reins
L’Organisation mondiale de
la santé afirme que les patients fortunés, dans les pays
développés, paient des dizaines de milliers de dollars pour un rein
à des gangs basés en Inde, en Chine et au Pakistan, qui les
prélèvent sur des gens désespérés pour quelques centaines de
dollars.
Selon l’organisme de santé
basé aux Nations unies, l’Europe de l’Est devient un terreau
fertile pour les organes du marché noir ; récemment, l’Armée
du Salut a déclaré avoir sauvé une femme amenée au Royaume-Uni pour
se faire prélever ses organes.
Le commerce des reins
représente 75 % du commerce des organes du marché noir (…).
Les experts pensent que c’est probablement dû aux nombreuses
maladies liées à la société d’abondance telles que le diabète,
l’hypertension artérielle et les problèmes cardiaques.
Et puisqu’il existe une
telle disparité entre pays riches et pays pauvres, il est peu
vraisemblable que ce commerce prenne bientôt fin.
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