D’Isola à Juliet (glissée sous la porte de
Juliet)
Vendredi, juste avant l’aube
Chérie, je ne peux pas m’arrêter, je dois me rendre à mon étal. Je suis contente que ton ami ait accepté de loger chez moi. J’ai mis des brins de lavande dans ses draps. Aimerais-tu que je verse un de mes élixirs dans son café ? Un signe de tête me suffira. Je devine celui qu’il te faut.
Grosses bises,
Isola