Remerciements
Bien des personnes qui ont rencontré et fréquenté Billy Milligan au cours de la période couverte par ce livre ont généreusement partagé avec moi leurs souvenirs et leurs expériences. Bien que la majorité d’entre elles soient clairement identifiables au fil du récit, je tiens à leur exprimer ma profonde gratitude pour l’aide qu’elles m’ont apportée.
Je voudrais pour commencer remercier les personnes suivantes, qui m’ont accordé des interviews et m’ont fourni (ou confirmé) les détails de la plupart des événements relatés dans cet ouvrage :
Feu le docteur David Caul, directeur clinique du Centre de santé mentale d’Athens ; Alan Vogel, directeur du centre médico-légal de Dayton ; la docteur Judyth Box, directeur clinique de l’UMLR ; la docteur Stella Karolin, psychiatre ; et la docteur Sheila Porter, PhD, psychologue.
Feu maître Gary Schweickart ; maître Randall Dana (ainsi que les membres de son cabinet) ; maître Alan Goldsberry et son ancien associé, Stephen G. Thompson.
Le détective Will Ziebell, des forces de police de Bellingham, ainsi que Tim Cole, lui aussi originaire de Bellingham, m’ont aidé â clarifier les événements survenus durant la fuite de Milligan dans l’État de Washington. Tanda Kaye Bartley m’a accordé une longue interview peu de temps après son union avec Billy, mais avant de l’abandonner, m’apportant de précieuses informations sur les circonstances de leur mariage.
J’exprime enfin ma gratitude à Mary, pour m’avoir confié son journal et donné l’autorisation d’en publier de larges extraits dans ce livre, ainsi qu’à Gerald A. Austin, qui devint le mécène, l’employeur et pour finir l’agent artistique de Billy.
D’autres personnes ont joué un rôle important dans la genèse, la réalisation et la publication de cet ouvrage. Je voudrais remercier Lou Aronica, de Bantam Books, pour sa foi dans ce projet ; Jennifer Hershey pour sa relecture soigneuse et éclairée ; et maître Lauren Field pour la pertinence de ses conseils. Je tiens à exprimer ma reconnaissance aux employés de l’agence William Morris qui m’ont accordé leur confiance et ont combattu pour que ce livre voie le jour et soit diffusé internationalement : M. Ron Nolte ; Marcy Posner, directrice du département International ; et tout particulièrement mon infatigable agent, Jim Stein, qui m’a soutenu et poussé à persévérer durant les périodes sombres où tout semblait aller de travers.
Tous mes remerciements à Hiroshi Hayakawa, pour avoir permis aux lecteurs japonais de découvrir l’histoire de Billy Milligan.
Pour terminer je souhaiterais, une fois encore, exprimer ma gratitude à mes filles, Hillary et Leslie, pour leurs encouragements et leur aide, ainsi qu’à ma femme, Aurea, qui a travaillé sans relâche sur le manuscrit et les bandes audio, et dont la détermination et le regard aiguisé m’ont apporté une aide précieuse tout au long des années de recherche et d’écriture nécessaires à la rédaction de cette suite de l’histoire de Milligan.
Que toutes ces personnes – ainsi que de nombreuses autres qui ne pouvaient, ou ne voulaient pas, être nommées – soient ici remerciées.