REMERCIEMENTS
Si le style et la transposition d’une œuvre
appartiennent en plein aux auteurs, nous ne pourrions créer nos
livres sans nos recherches, sans les encouragements de nos proches
et sans nos sources d’inspiration. Les remerciements constituent, à
mes yeux, l’une des étapes les plus enthousiasmantes dans
l’élaboration d’un livre. Je vous prie donc de me pardonner si je
me fais un peu emphatique, en tressant des lauriers à mon
« équipe ».
Mon incroyable agent, Scott Miller, du Trident
Media Group, qui sait toujours ce qu’il faut dire au bon
moment ; Stephanie Sun avec qui chaque conversation est un
plaisir.
Mon extraordinaire réviseuse, Linda McFall, la
femme qui transforme mes manuscrits en livres cohérents. Je n’y
arriverais pas sans toi, Linda… Et un grand merci à son assistant,
Adam Wilson, qui sait rendre les détails d’intendance si plaisants.
A eux deux, ils donnent de la magie à mes phrases et je leur en
serai éternellement reconnaissante.
Toute l’équipe de MIRA, en particulier Heather
Foy, Don Lucey, Michelle Renaud, Adrienne Macintosh, Megan Lorius,
Marianna Ricciuto, Tracey Langmuir, Kathy Lodge, Emily Ohanjanians,
Alex Osuszek, Margaret Marbury, Dianne Moggy ; sans oublier
les brillants artistes qui créent ces couvertures fabuleuses :
Tara Kelly et Gigi Lau.
Mon agent de relations publiques indépendant, Tom
Robinson, qui maîtrise à merveille l’art de trouver des occasions
de faire connaître mon travail. Merci pour tout,
Tom !
Tous les bibliothécaires qui ont trouvé judicieux
de commander mes livres – ça me réchauffe tant le cœur
quand on me dit qu’on a trouvé l’un de mes livres dans une
bibliothèque de quartier !
L’inspecteur David Achord, de la brigade des
homicides de Nashville, mon fournisseur d’infos, ma source
principale, mon ami. Sans son inestimable aide, je ne serais pas
parvenue à donner vie à Taylor.
Le Dr Vince Tranchida, pathologiste de Manhattan,
qui s’assure que Sam exécute bien son travail.
Duane Swierczynski, qui ne parle pas le
polonais.
Elizabeth Fox, qui m’a stupéfiée un jour en
m’envoyant cet e-mail : « Taylor, c’est moi. » et
qui est depuis une grande amie.
Les membres de mon extraordinaire groupe de
critiques, les Fabuleux Manieurs de Mots de la Ville de la Musique,
Del Tinsley, Janet McKeown, Mary Richards, Rai Lyn Woods, Cecelia
Tichi, Peggy O’Neal Peden et J. B. Thompson, qui n’hésitent
jamais à me signaler mes erreurs et mes travers… et qui sont les
premiers à applaudir quand je m’en sors bien. Je vous aime, les
amis !
Et un grand merci à J. B., qui m’aide à
habiller mes phrases pour l’œil du lecteur new-yorkais.
Laura et Linda, les libraires de la librairie
Borders à Cool Springs, qui ont accueilli à bras ouverts le nouvel
auteur local que je suis. Merci, les filles !
Joan Huston, du comité de lecture de MIRA, mérite
elle aussi un grand merci, une fois de plus, pour avoir attiré mon
attention sur la manière dont ce livre débute. La rigueur de son
regard a permis d’en faire un livre plus solide.
Ma chère Tasha Alexander, la seule femme qui
parvient à m’arracher durablement à mon clavier pour me parler au
téléphone, même si on arrive à faire les deux à la fois… Je
t’adore, ma chérie !
Mes confrères estimés, les auteurs Brett Battles,
Rob Gregory-Browne, Bill Cameron et Dave White, pour leurs
messages ; Toni Causey, Gregg Olsen, Kristy Kiernan qui
m’encouragent et savent me faire rire. Et tous mes copains de la
collection Killer Year, qui ont exercé une si bonne influence sur
moi.
Les blogueurs et blogueuses du site Murderati, qui
m’inspirent au quotidien ; en particulier Pari Noskin
Taichert, la meilleure caisse de résonance de
l’Internet.
Lee Child et John Connolly, pour m’avoir incitée à
peser chacun de mes mots, et John Sanford, que je dois remercier
comme source permanente d’inspiration.
Mes parents, qui sont les plus acharnés
aficionados de mes livres et qui
mériteraient de toucher une commission sur les ventes. Leur amour
et leur soutien sont phénoménaux. Mon merveilleux frère,
Jay – ainsi que Kendall, Jason et Dillon, qui arrivent à
supporter leur tante rebelle. Et mon autre merveilleux frère, Jeff,
qui a toujours su me faire rire.
Et où en serais-je, s’il n’y avait mon mari adoré
pour me rappeler aux réalités ? Merci, chéri, de m’empêcher de
partir à la dérive. C’est grâce à toi que la vie vaut d’être
vécue.
Nashville est une ville fabuleuse à décrire pour
un écrivain. Même si je m’efforce de rester fidèle à la réalité, je
m’autorise parfois à recourir à la licence poétique. Toutes les
erreurs, les exagérations, les opinions et les interprétations sont
donc de mon seul fait.