(Établi par le commissaire San-Antonio à l'intention de Bérurier et rempli par ce dernier.)
R : Comme ils pouvaient ! Quand on n'a pas le gaz, ni l'eau sur l'évier c'est pas la peine d'acheter le Larousse gastronomique.
R : Ils s'appelaient les truites. Ils faisaient du boulot d'élagage, déguisés en gonzesses.
R : Par le général Alésia.
R : Je m'en rappelle plus.
R : Ça le regarde ! Chacun son problème, comme on dit !
R : Il s'est rasé tous les matins puisqu'il avait pas de barbe !
R : Tu t'en souviens, toi, Berthe ? Moi non plus. Mais je peux dire que c'était en 1914.
R : Michèle Morgan.
R : Tu parles ! Même qu'elle a laissé une auréole !
R : De faire la lanterne japonaise ; le coupe-cigare magique ; le gobe-mouche africain ; la tabatière sans couvercle ; le fouignozof savonneux ; ma couronne où je pense ; la gargouille fantasque ; le piège à Comte ; la patinette glissante ; le dortoir en folie ; et le petit doigt inquisiteur à des messieurs qu'elles ne connaissaient pas !
R : Elle a fait le plus gros, mais elle a laissé du boulot pour d'autres sauveurs professionnels.
R : Son percepteur, sa concierge, son foie ou sa belle-doche, probablement. Les hommes, qu'ils soyent rois ou manœuvres, c'est bien toujours les mêmes trucs qui les font tartir !