Le livre d'or de Cliffort D. Simak
L'ouvrier agricole tchèque épousa la fille du fermier : c'est ainsi
que Clifford D. Simak naquit en 1904, dans un petit village nommé
Millville, qui allait devenir le cadre de beaucoup de ses récits. Doyen
de la S.F. américaine, il délivre depuis plus d'un demi-siècle un
message simple et fort : amour de la nature, tendresse pour les animaux
et pour toutes formes de vie, si différentes soient-elles (des robots
aux lutins, des extraterrestres aux abstractions symbiotiques). Plus
préoccupé de morale que de technologie, il chante le monde ancien que
nous avons perdu, la tolérance, la sérénité automnale, les étrangers qui
promènent sur nous un autre regard, affirment leur droit à la
différence et vous inspirent le désir de vivre en paix avec eux. Peu
importe la mort des individus et même des espèces ; ce qui compte, c'est
la chaîne de la vie qui est partout.
1 - Daniel RICHE, Préface, pages 7 à 22, Préface
2 - Le Créateur (The Creator), pages 23 à 51, trad. Nathalie DUDON
3 - Courtoisie (Courtesy), pages 52 à 74, trad. Lorris MURAIL
4 - L'Immigrant (Immigrant), pages 75 à 137, trad. Lorris MURAIL
5 - Mondes sans fin (Worlds without end), pages 138 à 211, trad. Lorris MURAIL
6 - Steve et les mi-êtres (No life of their own), pages 212 à 259, trad. Natalie ZIMMERMANN
7 - Le Dernier gentleman (Final gentleman), pages 260 à 302, trad. René DURAND
8 - L'Épidémie (Unsilent spring), pages 303 à 343, trad. Lorris MURAIL
9 - L'Ordinateur qui aimait les étoiles (Byte your tongue !), pages 344 à 367, trad. Lorris MURAIL
10 - ANONYME, Bibliographie de Clifford D. Simak, pages 368 à 378, Bibliographie