Le livre d’or de la
science-fiction
Le « livre d’or »
présente le panorama complet de la science-fiction classique et moderne à
travers les œuvres, les écoles et les genres qui ont marqué son évolution.
• Chaque volume est
consacré à un auteur ou à un domaine particulier, dont il regroupe les
nouvelles les plus fulgurantes, les plus illustres ou les plus significatives.
• Un grand nombre de
textes présentés dans le « livre d’or » sont inédits en français.
• Chaque volume est
en outre enrichi d’une préface, d’une étude bibliographique approfondie et de
nombreuses notices demandées aux meilleurs spécialistes.
Le « livre d’or »,
c’est la « bibliothèque idéale » de l’amateur de science-fiction.
Brian W. Aldiss est né en 1925 et a publié son premier texte en 1955. Écrivant
à la fois de la S.F. et de la littérature générale, il était bien placé pour
échapper aux contraintes des genres, et c’est avec lui que la S.F. anglaise est
devenue une littérature ambitieuse. Des romans comme Croisière sans
escale, le Monde vert, Barbe-Grise et Frankenstein
délivré ont fait de lui une gloire
nationale : il a même présidé la Société des Auteurs anglaise. Son œuvre évoque
le désarroi de l’homme face au mystère de l’univers, l’ampleur vertigineuse du
temps et de l’espace, le long travail de l’entropie qui condamne toutes choses
à la vieillesse et à la mort, l’incapacité de l’homme à percevoir sa propre
insignifiance. Le ton est très varié, du conte philosophique au récit picaresque.
Aldiss est l’orfèvre de la S.F. : ses nouvelles sont de vrais bijoux.
Au sommaire de ce numéro 34 :
Judas dansait (1958)
Homme sur pont (1964)
Homme en son temps (1965)
Trajectoires immobiles (1967)
Le Théorème du firmament (1969)
Si loin de prague (1969)
Sobres bruits du matin dans une contrée marginale (1971)
Un vaisseau cher et délicat (1973)
Un dollar, ça vaut combien ? (1970)
Voyage au coeur du rêve (1976)
Une optique chinoise (1978)