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François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l'une des figures centrales du romantisme français. (Wikipédia)
Ma passion pour les racines de notre monde m'a amené à vivre en ermite, replié au fond de la Grande Bibliothèque de Pilduin. J'y ai découvert des textes remontant à l'aube de notre ère, dont les richesses n'ont jamais été dévoilées aux générations de moines que les neiges de l'Harad ont confinées en ce lieu. L'automne dernier, pourtant, j'y ai rencontré plus extraordinaire que le plus précieux des parchemins : le dernier témoin vivant des jours les plus glorieux de notre Empire. Un vieux manchot venu ici, depuis la cours de Villeforte, en un ultime pélerinage. Le pauvre diable est mort, mais si la moitié de ce qu'il dit est vrai, il a vécu plus d'aventures que ses frères n'en connaîtront jamais...
Hattin, en Terre sainte. 1187. Saladin inflige aux croisés leur plus importante défaite depuis le début des croisades, et leur enlève la " Vraie Croix " - sur laquelle le Christ a été crucifié, et qui les a accompagnés dans tous leurs combats... Unique moine chevalier resté en vie parmi les prisonniers, Morgennes, torturé par les Sarrasins, puis condamné par les siens, part en quête de la Vraie Croix. Mais il faut faire vite : Saladin marche sur Jérusalem, qui n'est plus défendue, seule la Vraie Croix permettrait aux Francs de recouvrer l'espoir et de sauver la Ville sainte. Pour retrouver le plus noble étendard de la chrétienté, Morgennes va affronter Assassins, Sarrasins et même Templiers... Au cours de ses aventures, il croisera Taqi, le neveu chéri de Saladin, la belle et mystérieuse Cassiopée accompagnée de son faucon, Rufinus, l'évêque décapité dont la tête, conservée dans un céphalotaphe, continue de parler, parmi d'autres personnages et animaux merveilleux... Sa quête paraît vouée à l'échec. Une force invisible l'accompagne. Elle le protège, elle le guide. Suffira-t-elle à le sauver des Enfers ? Avec ce roman inspiré, histoire d'une rédemption, aventure fantastique, plongée au cœur d'un XIIe siècle de légende, David Camus retrouve le souffle des grandes épopées dont il offre une version moderne, d'une force rare.
Changer des couches quinze fois par jour encouragerait les pensées impures? On pourrait le croire en lisant les aventures et les réflexions d'une mère de famille qui, après sept mois de congé de maternité, s'est soudainement révélée à elle-même et à la communauté virtuelle comme étant irréversiblement une mère indigne.Depuis mars 2006, elle entretient les lecteurs de son blogue de tous les aspects cachés, et parfois tabous, de la maternité: des pièges que recèle la préparation des fêtes d'anniversaire pour plusieurs enfants au cauchemar d'endormir un bébé qui a la volonté plus arrêtée qu'un dictateur, en passant par les dessous nauséabonds de l'accouchement, rien ne leur est épargné. Les Chroniques d'une mère indigne souhaitent démontrer aux parents qu'il est parfois bon de rire de la vie familiale et même de leurs enfants. Loin d'être répréhensible, l'indignité est une question de survie
Une fois qu'on est dans l'indignité, on ne peut plus s'en sortir. On y sombre. Et le fond semble étrangement lointain. On regarde les livres sur nos tablettes : La première année de bébé, Comment nourrir sainement votre progéniture ou Aider votre enfant à bâtir son estime de soi. On les regarde, ces bouquins, et on ricane. La première année de bébé nous semble noyée dans le brouillard du manque de sommeil. Côté nourriture, aucune inquiétude, puisque c'est avec notre équilibre mental que notre progéniture casse la croûte. Quant à l'estime de soi, c'est plutôt celle des parents qu'il faut rebâtir brique par brique, roman policier par roman policier, gin tonic par gin tonic. Et tome par tome, d'où ce tome 2 qui, espérons-le, vous fera rigoler autant que le premier. On pourrait aussi bien dire que ça vous fera réfléchir, mais ce serait un mensonge éhonté. Longue vie à l'indignité! Caroline Allard a mis deux enfants au monde. Bien qu'elle les aime énormément, elle ne peut réprimer une envie irrépressible de défoulement qu'elle soulage en écrivant des chroniques rigolotes à leur sujet. Son premier roman, tiré de son blogue, a remporté le Grand Prix littéraire Archambault et lui a aussi permis de visiter moult Salons du livre, ce qui a pour avantage de l'autoriser à fuir ponctuellement la maison pour s'amuser en bonne compagnie. Son principal projet d'avenir est (cochez la bonne réponse): A) Avoir 13 autres enfants pour subséquemment écrire 13 nouveaux tomes de Mère indigne; B) Attendre que ses filles grandissent pour leur faire rédiger ses chroniques à sa place; ou C) Aller se préparer un gin tonic, parce qu'écrire une bio, ça donne soif.
La vie de Scott Warden bascule le jour où il est témoin de l'apparition du premier Chronolithe à Chumphon, en Thaïlande. Ce monument hors du commun célèbre la victoire du seigneur de la guerre Kuin. Mais cette victoire n'aura lieu que dans vingt ans et trois mois. Qui peut bien être ce Kuin dont on ignore tout ? Et comment ce monument a-t-il pu venir quasi instantanément du futur ? Autant de questions auxquelles vont tenter de répondre Scott et son ancien professeur de physique, Sulamith Chopra, pendant qu'autour d'eux le monde semble s'écrouler, dans l'attente de l'avènement de Kuin. Un grand roman de science-fiction aux allures de thriller scientifique empreint, comme souvent chez Robert Charles Wilson, d'humanisme et de mélancolie.
Approche-toi. Tire un peu sur les manches, et sur le col. Ça va. Je te fais officier de la Légion d'honneur. Ne me remercie pas ! Tout le monde en ferait autant à ma place... Comme tu es assez grand, assez maigre, et que tu as le nez rouge, que ton faciès présente quelque chose à la fois de bilieux et d'alcoolique, tu seras mon attaché militaire. Quel grade veux-tu ? Colonel ? Tu es un peu jeune ! Commandant ! Je t'appellerai « Commandant ! » Tu m'appelleras : « Monsieur le Ministre ! » Entendu ? Rompez !...
Les égyptiennes des temps pharaoniques connurent un monde où la femme était réellement l'égale de l'homme. Un monde où les femmes étaient respectées, aimées et libres. Libres d'aller et venir comme elles l'entendaient, de se marier avec l'élu de leur coeur, de divorcer avec l'assurance de toucher une pension alimentaire, d'exercer les mêmes professions que les hommes : médecin, chirurgien, scribe, pilote de bateau, vizir ou... pharaon. Au fil des pages, nous rencontrons des Egyptiennes célèbres, Néfertiti, la reine Isis, Cléopâtre..., mais aussi des inconnues : des élégantes de Thèbes, des paysannes... le déclin de 'Egypte ancienne commença sous le règne de Ptolémée IV, souverain grec, au moment où les femmes perdaient peu à peu leurs libertés...
Jean Cocteau -- poet, novelist, dramatist, artist, musician -- was a leading figure in the Surrealist movement. In addition to his popular novelLes Enfants Terribles(1929), he is best remembered in the English-speaking world for the filmOrphee(1950).
Soumis aux agissements souterrains du Tisserand, les royaumes Eandi des Terres du Devant connaissent des heures sombres. Luttes de pouvoir, ambitions destructrices, assassinats, les graines de la discorde portent leurs fruits.
Désormais, seule une union sacrée permettrait d’éviter le désastre. Pourtant, aveugles au mal qui les ronge, Qirsi comme Eandi s’obstinent dans la méfiance et la haine. La poignée des justes parviendra-t-elle à nouer cette alliance ? Alors que Grinsa, pour démasquer le Tisserand, s’oblige à dénoncer celle qu’il aime, alors que Kearney, roi d’Eibithar, se révèle un monarque hors pair et Tavis de Curgh, jeune prince déchu, un noble valeureux, d’autres ne cessent de gonfler les rangs des rebelles...
Après avoir poussé le royaume d’Eibithar au bord de la guerre civile, la conspiration qirsi poursuit son œuvre. Son objectif : déstabiliser l’ensemble des Sept Royaumes.
Premier visé, celui d’Aneira : son monarque venant d’être assassiné, une âpre lutte s’engage pour la couronne. L’héritière du royaume n’est qu’une fillette de dix ans. L’ambition de la reine de faire couronner sa fille est violemment contrée par les frères du roi défunt, eux-mêmes prêts à toutes les turpitudes pour ravir le pouvoir.
Quant au royaume d’Eibithar, malgré l’accession consensuelle de Kearney sur le trône, la situation est loin d’être réglée. Certains contestent la légitimité du nouveau monarque.
Tandis que les royaumes d’Eibithar et d’Aneira sont ainsi plongés dans la plus grande confusion, les fils du complot contre les Eandi s’étendent et se resserrent sur les Terres du Devant. Leur destin, loin d’être gravé dans le marbre, se révèle plus incertain que jamais.
Seyonne a traqué pendant des années les démons des rai-kirah qui
hantaient le monde. Implacable au combat, il leur livrait bataille
inlassablement, dans les royaumes visibles et invisibles, au péril de sa
vie, au détriment de son bonheur. Il a fait tout cela pour rien. Car
ces démons n'étaient pas l'ennemi qu'il croyait. Une puissance bien
supérieure menace désormais de détruire aussi bien l'humanité tout
entière que les démons eux-mêmes. Seule l'alliance de Seyonne et des
rai-kirah pourrait sauver le monde qui court à sa perte...
Dans Delft la tranquille, chacun envie le sort du riche Karel Klundert, un célibataire merveilleusement servi par sa vieille gouvernante, Mina.
Une fois par mois, Karel se réunit à d’autres quinquagénaires, veufs ou vieux garçons, que rassemble une même tendresse pour les plats bien cuisinés et les vins de qualité, amoureusement choisis. Mais une nuit, une voix désespérée va troubler la belle quiétude de ces égoïstes, la voix d’une femme qui appelle au secours Karel Klundert qu’elle affirme être le père de son enfant. Persuadé qu’il s’agit d’une farce, Karel se moque de cette Karin inconnue jusqu’au moment où il apprend qu’une jeune femme, nommée Karin, s’est noyée après lui avoir téléphoné.
Dès lors, Karel va se battre contre lui-même, contre l’impossible. Il ne connaissait pas Karin et Karin est morte parce qu’il n’avait pas voulu répondre à son appel. Dans Delft, on ne comprend pas, l’opinion se divise : pour ou contre Karel. Mais Albrecht Cornelis, le policier, ne veut pas qu’un homme, pour si riche qu’il soit, puisse tuer impunément, même si ce crime ne tombe pas sous le coup de la loi.
C’est un drame émouvant parce que profondément humain, dans l’atmosphère paisible de la belle ville hollandaise.
À la fin du XIXe siècle, au manoir de Glen Mawr situé dans
la ville de Winterthurn à l'est des États-Unis, vit l'étrange
famille Kilgarvan : Georgina, la «nonne bleue» et ses deux
demi-soeurs qu'elle élève seule, la sage et studieuse Thérèse
et la jolie, fantasque Perdita. À l'aube d'une journée de mai,
Georgina s'en va mystérieusement en ville acheter cinquante
livres de chaux vive. Peu après, on retrouvera le bébé de sa
cousine Abigaïl égorgé près du lit de la mère.
Douze ans plus tard, cinq jeunes filles sont retrouvées mortes,
atrocement mutilées, près de Winterthurn. Et, douze ans plus
tard encore, c'est le pasteur, sa mère et une de ses paroissiennes
qui sont sauvagement assassinés à coups de hache.
Xavier Kilgarvan mène les trois enquêtes avec verve et passion,
au risque de perdre sa crédibilité, son coeur et son esprit.
À travers lui, on suit avec délice les façons de la société du
tournant du siècle, surannée, pudibonde, hypocrite.
Les mystères de Winterthurn clôt ainsi admirablement la
trilogie gothique amorcée avec Bellefleur et La légende de
Bloodsmoor.
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