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Traduit pour la première fois par un jésuite en 1772 sous le titre «Les treize chapitres», qui l'a fait connaître en Europe, ce texte est vite devenu un texte fondateur de la stratégie militaire auprès des différentes cours et état-majors européens. Rarement, un livre ancien (écrit entre le 6ème et le 3e siécle avant Jésus-Christ) n'est resté aussi moderne, car cette philosophie de la guerre et de la politique fondée sur la ruse et le semblant, plus que sur la force brute, qu'il décrit, est toujours d'actualité. Et même, hors de la «chose militaire», Sun tzu reste une grande référence pour décrypter la stratégie d'entreprise et la politique. La formulation précise et imagée de Sun tzu ajoute à l'intérêt du texte, une touche de sagesse millénaire…<
E. Dentu – 1868 Première publication en journal : La Petite Presse – Les Misères de Londres – 9 novembre 1867 au 2 juillet 1868 – 237 épisodes Cette nouvelle série apparaît comme indépendante des romans précédents. D’ailleurs, le nom de Rocambole n’y est jamais cité, même s’il est aisé de le reconnaître dans le personnage central, l’homme en gris. Cet épisode, ainsi que les deux suivants, se passent en Angleterre et ont pour toile de fond, la lutte des indépendantistes irlandais, les fenians, contre la secte anglicane. L’homme en gris, allié à un prêtre irlandais et à un ex-brigand, Shoking, est à la recherche d’un riche héritier, Ralph, élevé dans les bas-fonds de Londres après avoir été enlevé, enfant, à l’instigation de Lord Palmure et de sa fille, Miss Ellen, qui se sont appropriés de son héritage, avec l’aide du diabolique révérend Peter Town. Comme vous vous en doutez, l’homme en gris sera victorieux mais terminera encore une fois en prison… Au moment où on l’emmène, Miss Elen réalise soudain qu’elle est amoureuse de lui…<
E. Dentu – 1868 Première publication en journal : La Petite Presse – Les Misères de Londres – 9 novembre 1867 au 2 juillet 1868 – 237épisodes (cf mémento bibliographique) <
(Chinese: 孫子兵法) is a Chinese military treatise written during the 6th century BC by Sun Tzu. Composed of 13 chapters, each of which is devoted to one aspect of warfare, it has long been praised as the definitive work on military strategies and tactics of its time.The Art of War is one of the oldest books on military strategy in the world. Like a work of mathematics or science, much of the work is dedicated to defining its concepts in what has been described as a series of formulas. It is the first and one of the most successful works on strategy and has had a huge influence on Eastern and Western military thinking, business tactics, and beyond. Sun Tzu was the first to recognize the importance of positioning in strategy and that position is affected both by objective conditions in the physical environment and the subjective opinions of competitive actors in that environment. He taught that strategy was not planning in the sense of working through a to-do list, instead it requires quickly responding appropriately to changing conditions. Planning works in a controlled environment, but in a competitive environment, competing plans collide creating situations that no one plans.The book was first translated into a European language in 1782 by French Jesuit Jean Joseph Marie Amiot, and had possibly influenced Napoleon, and even the planning of Operation Desert Storm. Leaders as diverse as Mao Zedong, General Pervez Musharraf, Vo Nguyen Giap, and General Douglas MacArthur have claimed to have drawn inspiration from the work.The Art of War has also been applied, with much success, to business and managerial strategies.<
E. Dentu – 1868 Première publication en journal : La Petite Presse – Les Misères de Londres – 9 novembre 1867 au 2 juillet 1868 – 237 épisodes (cf mémento bibliographique).<
E. Dentu – 1868 Première publication en journal : La Petite Presse – Les Misères de Londres – 9 novembre 1867 au 2 juillet 1868 – 237 épisodes (cf mémento bibliographique).<
Publication originale, sous le titre Les Démolitions de Paris – La Petite Presse – 21 février au 12 juin 1869 – 122 épisodes, en deux parties : Les Amours du Limousin et La Captivité du maître. Texte établi d’après l’édition Arthème Fayard – février 1910 – le Livre populaire n° 18, XIVe aventure de Rocambole publiée dans cette collection. Rocambole est donc en prison à Newgate. Miss Ellen, elle, est à Paris, partie à la recherche de ses amis, Vanda, Milon et Marmouset, afin de trouver de l’aide pour le faire évader. Mais Lord Palmure a juré de se venger. Son associé, James Wood, a tenté d’enlever Miss Ellen près d’un chantier de construction (d’où le titre de l’édition originale en journal : Les Démolitions de Paris) mais elle a été sauvé in extremis par un ouvrier surnommé Le Limousin. Woods est défait et Shoking qui a également fait le voyage Londres-Paris se joint à Miss Ellen, Vanda, Milon et Marmouset. Leur plan pour l’évasion de Rocambole est de construire un tunnel sous la prison, mais des extrémistes irlandais ont également eu la même idée…<
Texte établi d’après l’édition Arthème Fayard – mars 1910 – le Livre populaire n°19, XVe aventure de Rocambole publiée dans cette collection. Publication originale dans La Petite Presse – 29 mars au 18 juillet 1870 – 112 épisodes, en deux parties : Le Fou de Bedlam et L’Homme en gris. (cf mémento bibliographique). En prison Rocambole a fait la connaissance de Tom, un serviteur, qui lui raconte comment il en est arrivé à tuer Evandale Pemberton, qui avait volé la fortune et le titre du vrai héritier de la famille qu’il servait, son demi-frère William, enfermé à Bedlam. À sa sortie de sa prison, Rocambole, à nouveau réuni avec sa bande, décide d’aider William à retrouver sa fortune et son rang mais il doit faire face à nouveau à Peter Town qui travaille maintenant pour Sir Archibald, le beau-père d’Evandale, qui, à son tour, s’est approprié la fortune de William… Cette saga, qui aurait pu ne jamais finir, s’arrête brusquement, le 18 juillet 1870, en pleine action, alors que tout laissait présager une suite. En effet, nous sommes en pleine guerre, et la France est dans une situation critique. Ponson du Terrail s’enfuit vers Orléans où, avec quelques amis, il décide de faire la guérilla aux envahisseurs. Recherché par les Allemands qui brûlent sa maison, il fuit vers Bordeaux où, à l’âge de 42 ans, il meurt de mort naturelle, le 10 janvier 1871<
Texte établi d’après l’édition Arthème Fayard – mars 1910 – le Livre populaire n°19, XVe aventure de Rocambole publiée dans cette collection. Publication originale dans La Petite Presse – 29 mars au 18 juillet 1870 – 112 épisodes, en deux parties : Le Fou de Bedlam et L’Homme en gris. (cf mémento bibliographique). En prison Rocambole a fait la connaissance de Tom, un serviteur, qui lui raconte comment il en est arrivé à tuer Evandale Pemberton, qui avait volé la fortune et le titre du vrai héritier de la famille qu’il servait, son demi-frère William, enfermé à Bedlam. À sa sortie de sa prison, Rocambole, à nouveau réuni avec sa bande, décide d’aider William à retrouver sa fortune et son rang mais il doit faire face à nouveau à Peter Town qui travaille maintenant pour Sir Archibald, le beau-père d’Evandale, qui, à son tour, s’est approprié la fortune de William… Cette saga, qui aurait pu ne jamais finir, s’arrête brusquement, le 18 juillet 1870, en pleine action, alors que tout laissait présager une suite. En effet, nous sommes en pleine guerre, et la France est dans une situation critique. Ponson du Terrail s’enfuit vers Orléans où, avec quelques amis, il décide de faire la guérilla aux envahisseurs. Recherché par les Allemands qui brûlent sa maison, il fuit vers Bordeaux où, à l’âge de 42 ans, il meurt de mort naturelle, le 10 janvier 1871<
Roman de jeunesse de Ponson du Terrail, La Baronne trépassée réunit tous les composants du roman gothique : vampires, fantômes, château médiéval. Ponson du Terrail ne ménage pas les effets, non sans ironie, voire parodie.
L'histoire s'ouvre sur une promesse que fait le baron Hector de Nossac à une ancienne maîtresse, promesse d'être son esclave pendant 24 heures au moment qu'elle choisira. Celle-ci se rappelle au bon souvenir du baron tandis que celui-ci se prépare à sa nuit de noces. Il respecte son serment et délaisse sa jeune épouse. À son retour, il apprend que sa femme, désespérée, est retournée dans le château familial en Bretagne. Hector de Nossac part à sa recherche, mais arrive trop tard : elle est morte de chagrin. Désespéré, il s'engage dans l'armée où il se comporte héroïquement et finit par arriver en Bohème, point de départ de rencontres fantastiques pour notre héros, hanté par le fantôme de sa jeune femme morte...<
Voici l'ultime tragédie de Shakespeare. Brecht la considérait comme «l'une des plus grandioses oeuvres» de son auteur. Cette pièce est inspirée de la vie de Gaius Marcius Coriolanus, militaire romain rendu légendaire par Plutarque.
Caius Marcius ayant capturé la ville de Corioli appartenant aux Volsques, rentre à Rome et reçoit le nom de Coriolan en honneur de ses exploits. Le Sénat lui offre un poste de consul, mais il doit, selon les coutumes, se présenter devant le peuple et demander très humblement son soutien. Malgré son mépris du système et de son arrogance, à la surprise de tous, il se prête au jeu et obtient les faveurs du public. Mais deux tribuns romains Junius Brutus et Sicinius Velutus convainquent les gens que s'il est élu, Coriolan va diriger la ville comme un tyran. Le peuple, volage, se retourne contre Coriolan et lui retire son appui. Sur les conseils de son grand ami Menenius et de sa mère Volumnia à qui il ne peut rien refuser, Coriolan retourne encore une fois devant le peuple de Rome. Les tribuns réussissent à lui faire perdre son sang-froid. En colère, Coriolan se met à insulter le peuple et cette fois il est banni de la ville. Tombé en disgrâce, il retourne chez les Volsques, chez son ennemi Aufidius qui le reçoit à bras ouverts…
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Georgiana Bellewether no era capaz de entender por qué su familia había elegido pasar toda la temporada en la aburrida Bath. Allí jamás ocurría nada que estimulara su mente curiosa… ¡hasta la noche en que robaron las esmeraldas de lady Culpepper1 Si fuera capaz de mantener la mente en el caso y no distraerse con aquel hombre enigmático vestido de negro, el seductor lord Ashdowne…
Recién nombrado marqués de Ashdowne, Johnathon Saxton lamentaba la poca excitación que dominaba sus días, sometidos a la responsabilidad de su título. Pero cuando la exótica Georgiana Bellewether cayó literalmente en sus brazos, supo que aquello se había terminado…
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Peut-être du fait du relatif insuccès de l’épisode précédent, Ponson du Terrail nous propose, sans aucune explication (pour le moment), une nouvelle version parallèle de Rocambole : retour au bagne de Toulon où Rocambole purge sa peine sous le numéro 117. Et, il n’est plus défiguré… Il est devenu le chef de criminels repentis, qui lui sont aveuglément dévoués, et a pour assistante une baronne polonaise, Vanda, qui lui est passionnément soumise, de même que Milon, une refonte du Chourineur des Mystères de Paris. Ces personnages se retrouveront dans l’ensemble de la série.
La première « mission » de Rocambole au service du bien, est de protéger deux jeunes filles, Antoinette et sa sœur Madeleine, des griffes de Karle de Morlux et de son frère Philippe qui leur ont volé leur fortune.
Rocambole – alias le major Avatar – rencontre à nouveau Baccarat – la comtesse Artoff – qui finit par accepter qu’il soit passé du côté de la justice et du bien, en particulier lorsqu’elle le voit consentir au mariage de Madeleine, qu’il aime, à Yvan Potenieff, en butte à la jalousie meurtrière de la Comtesse de Wasilika Wasserenoff. Elle lui dit alors à l’oreille : « Rédemption ! »
Dans La vengeance de Wasilika, Rocambole manifeste l’intention de se suicider, mais Milon et Vanda réussissent à le convaincre qu’il mérite de vivre. Il apprend que le fils de Blanche de Chamery (cf Les Exploits de Rocambole) a été kidnappé. Il finira par le libérer, mais non sans être blessé à mort. À la fin de cet épisode, Milon dit « Rocambole est mort ! », ce à quoi Vanda réplique : « Dieu ne le permettra pas : Rocambole vivra ! »<
« J’ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu’à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s’était cassé dans mon moteur. Et comme je n’avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C’était pour moi une question de vie ou de mort. J’avais à peine de l’eau à boire pour huit jours.
Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J’étais bien plus isolé qu’un naufragé sur un radeau au milieu de l’océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m’a réveillé. Elle disait : … »
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La Petite Presse – 21 août 1866 au 8 août 1867 350 épisodes E. Dentu Le Dernier Mot de Rocambole (5 volumes) 1866 – 1867 Ce nouvel opus est dans la lignée du précédent, mais Ponson du Terrail ajoute une note d’exotisme, en faisant intervenir la secte des Thuggs, étrangleurs de l’Inde, fort à la mode dans les années 1860. Manifestement guéri, Rocambole s’est infiltré au sein d’une bande de voleurs, les Ravageurs, pour les combattre. Il apprend, au cours d’un cambriolage, qu’un Thugee cherche à kidnapper des jeunes filles pour les ramener aux Indes où elles serviront la déesse Kali. Rocambole se rend en Angleterre avec Milon et Vanda et plusieurs membres repentis de la bande des Ravageurs, pour combattre ce Thugee, et en particulier pour protéger une certaine Bohémienne, qui se nomme en réalité Anna Blesingfort, dont l’héritage a été volé par sa tante, la maîtresse du chef des Thugees… Après ce combat, dont je vous laisse deviner l’issue, Rocambole se rend aux Indes. Dans l’épisode suivant, les membres du Club des Crevés, soupçonnant une femme surnommée La Belle Jardinière, qui a la réputation de cultiver des plantes mortelles dans son jardin, se rendent chez elle pour découvrir une statue de cire à l’effigie d’un des leurs, Maurevers, l’ami de coeur de Turquoise (cf Le Club des valets de coeur) et donc de Rocambole, disparu dernièrement. Cette femme est Roumia, une bohémienne ; elle a kidnappé Maurevers parce qu’il avait tué, alors qu’il était associé à Rocambole, son demi-frère, Perdito, ainsi que Vanda pour se venger de Rocambole. De retour des Indes, Rocambole, accompagné de Nadir, un membre des Fils de Shiva, ennemis jurés des Thugees, déjoue les plans de Roumia et lui fait comprendre qu’elle doit mener une autre vie. Elle consent à libérer Vanda et Maurevers. Mais… alors qu’il était dans les Indes, Rocambole s’est allié au rajah d’Osmanie pour combattre Sir Edward Linton qui a kidnappé le fils du rajah et réclame une forte rançon. C’est la raison du retour de Rocambole en Angleterre. Avec l’aide de Roumia, Milon et Varna, Rocambole réussit à libérer le fils du rajah, mais est dénoncé, par Sir Edward, à la police de Londres qui est à sa recherche depuis longtemps…<
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