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Scritto a partire dallo studio di un caso di possessione diabolica riportato dal «Post» nel 1949, L’esorcista richiese all’autore, William Peter Blatty, una lunga e accurata ricerca sull’argomento: «Penso che il mio inconscio, una volta accumulato tutto il materiale e la fatica necessari, abbia creato la maggior parte della trama, elargendone poco alla volta delle porzioni alla mia coscienza razionale». Pubblicato nel 1971, accolto con un certo scandalo dalla critica, il libro ebbe subito un impressionante successo di vendite; nel ’72, l’autore fu insignito del California Literature Silver Medal Award. Considerato da critici e lettori come uno dei migliori romanzi horror mai scritti, L’esorcista ha venduto circa sei milioni di copie ed è stato tradotto in diciotto lingue. Nel ’73 il film tratto dal libro, sceneggiato da Blatty, diretto da William Friedkin e interpretato da Max Von Sydow e Linda Blair, ebbe dieci nomination agli Oscar. Riportò due vittorie: come miglior sonoro e miglior sceneggiatura non originale. Il successo del film fu tale da indurre la produzione americana a finanziare, negli anni successivi, ben due sequel, L’esorcista ii: l’eretico e L’esorcista iii. Nel 2000 ne è stata inoltre
distribuita una nuova versione, contenente undici minuti aggiuntivi non inseriti nel montaggio del 1973. Il 31 ottobre 2008, nel celebre sondaggio di Halloween sul cinema horror, L’esorcista è stato
votato miglior film dell’orrore di tutti i tempi – seguito da Shining di Stanley Kubrick e da Alien di Ridley Scott.

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Le livre d’or de la science-fiction

Le « livre d’or » présente le panorama complet de la science-fiction classique et moderne à travers les œuvres, les écoles et les genres qui ont marqué son évolution.

• Chaque volume est consacré à un auteur ou à un domaine particulier, dont il regroupe les nouvelles les plus fulgurantes, les plus illustres ou les plus significatives.

• Un grand nombre de textes présentés dans le « livre d’or » sont inédits en français.

• Chaque volume est en outre enrichi d’une préface, d’une étude bibliographique approfondie et de nombreuses notices demandées aux meilleurs spécialistes.

Le « livre d’or », c’est la « bibliothèque idéale » de l’amateur de science-fiction.

Brian W. Aldiss est né en 1925 et a publié son premier texte en 1955. Écrivant à la fois de la S.F. et de la littérature générale, il était bien placé pour échapper aux contraintes des genres, et c’est avec lui que la S.F. anglaise est devenue une littérature ambitieuse. Des romans comme Croisière sans escale, le Monde vert, Barbe-Grise et Frankenstein délivré ont fait de lui une gloire nationale : il a même présidé la Société des Auteurs anglaise. Son œuvre évoque le désarroi de l’homme face au mystère de l’univers, l’ampleur vertigineuse du temps et de l’espace, le long travail de l’entropie qui condamne toutes choses à la vieillesse et à la mort, l’incapacité de l’homme à percevoir sa propre insignifiance. Le ton est très varié, du conte philosophique au récit picaresque. Aldiss est l’orfèvre de la S.F. : ses nouvelles sont de vrais bijoux.

 

Au sommaire de ce numéro 34 :

Judas dansait (1958)

Homme sur pont (1964)

Homme en son temps (1965)

Trajectoires immobiles (1967)

Le Théorème du firmament (1969)

Si loin de prague (1969)

Sobres bruits du matin dans une contrée marginale (1971)

Un vaisseau cher et délicat (1973)

Un dollar, ça vaut combien ? (1970)

Voyage au coeur du rêve (1976)

Une optique chinoise (1978)

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Septembre 1870, Paris est encerclé par les Prussiens. Un jeune soldat, grièvement blessé, est transporté dans un atelier de serrurerie transformé en hôpital de fortune. Il refuse d'abord les soins, mais arrive Mme Delaunay, qui ne compte ni son temps, ni sa patience pour accompagner tous ces hommes diminués... Une évocation de Paris dans cette guerre de 1870, période méconnue dans l'histoire de France.<

« Quand on est dans la m… jusqu’au cou, il ne reste plus qu’à chanter », disait Beckett. J’ai donc écouté son conseil.
Au début de cette campagne électorale de 2012, qui promettait d’être dure, j’ai décidé de tenir un journal qui me permettrait de prendre la bonne distance avec une course à la présidentielle s’annonçant sombre et violente.
Notre pays a traversé une série de crises inédites qui nous a laissés anéantis au terme d’un quinquennat troublé. Mais les protagonistes de cet incroyable roman m’ont offert, malgré eux, des anecdotes surréalistes qu’il serait dommage d’oublier, des motifs de colère qu’il serait malhonnête de taire, et aussi de bons fous rires…
Au détour des chemins de cette dernière campagne, me revient aussi en mémoire ce que j’ai vécu, plus tôt, sous l’ère Chirac. Souvenirs, souvenirs…
Je ne cache donc rien de ce qui peut se dire, ou pas. Hélas, comme ce qu’elle décrit, ma plume était à feu et à sang. Roselyne Bachelot

Couverture : © Régis Duvignau / AFP Photo

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