Het Rad des Tijds is onbetwist de meest aansprekende fantasy-cyclus van de afgelopen decennia. In dit ambitieuze epos verhaalt Robert Jordan van een profetie die lang geleden is gedaan, van een eeuw die lang geleden is voorspeld, de eeuw die nu is wedergekomen op het rad des Tijds. Alles wat was, wat is en wat zal zijn dreigt nu onder de Schaduw verloren te gaan. Want zo staat het geschreven…..
Onze helden staan voor moeilijke keuzes, terwijl de Schemer aanbreekt en de macht van de Duistere toeneemt.
Op de vlucht met de Dochter van de Negen Manen, zijn voorspelde bruid, ontdekt Mart dat zowel de Schaduw als de Seanchanen hen op de hielen zitten.
Perijn probeert zijn gevangen vrouw Faile te bevrijden. Is een verbond met de vijand zijn enige kans? Kan hij trouw blijven aan zijn vriend Rhand en zichzelf?
Egwenes rebelerende Aes Sedai belegeren Tar Valon, maar ze moeten snel winnen, met zo min mogelijk bloedvergieten, want alleen herenigd kunnen de Aes Sedai de Duistere weerstaan.
In Andor vecht Elayne voor de Leeuwentroon, maar ze wordt omringd door vijanden. Als zij faalt, zal Andor onder de Schaduw vallen en zal ook de Herrezen Draak falen.
Rhand heeft de smet van saidin verwijderd en alle geleiders gered. En toch is er niets veranderd, want hij wordt nog steeds gehaat en gevreesd...

<

Het weefsel van de werkelijkheid wordt almaar dunner. Alle voortekenen wijzen erop dat Tarmon Gai'don, de Laatste Slag, ophanden is. Weliswaar bereidt Rhand Altor zich voor op de confrontatie met de Duistere, maar eerst moet hij een wapenstilstand zien te bewerkstelligen met de Seanchaanse legers, want die putten zijn troepen steeds meer uit. De andere hoofdrolspelers, Perijn en Mart, Elayne en Egwene, allemaal hebben ze hun handen meer dan vol.

<

Met dit voorlaatste deel van Het Rad des Tijds bewijst Brandon Sanderson - na het machtige De Naderende Storm - voor de tweede keer dé aangewezen schrijver te zijn om de epische nalatenschap van de in 2007 onverwacht overleden Robert Jordan te beheren. Gestuurd door de pen van Sanderson draait het Rad onverstoor¬baar voort naar het naderende einde... 'Geen twijfel mogelijk, Brandon Sanderson stuurt aan op een waardig en bevredigend slot van Het Rad des Tijds.' - SFX Het einde nadert, de laatste slag is begonnen... De zegels van de kerker van de Duistere brokkelen af. Het patroon zeli is aan het ontrafelen en de legers van de Schaduw rijzen op uit de Verwording. Perijn Aybara wordt achtervolgd door spoken uit zijn verleden - Witmantels en wolvenslachters zitten hem op de hielen. Tel'aran'rhiotl lijkt de aangewezen plaats om naar antwoorden te zoeken, maar Perijn heeft last van andere problemen. Hij moet leren de wolfin zichzelf te onderdrukken voordat het beest hém overmeestert. Intussen bereidt Martrim Cauton zich erop voor de wezens voorbij de stenen poorten - de Aelfinn en Eelfinn - uit te gaan schakelen. Maar het Rad weeft wat het Rad wil. De Toren van Ghenjei wacht en zijn geheimen zullen eindelijk het lot van een lang verloren vriendin onthullen. Douie'andi setovya sagain. Hoogste tijd om de dobbelstenen te werpen. <

Appendix behorende bij het boek Het rad des tijds boek 10 - Viersprong van de schemer.

<

SUMMARY:
Walter M. Miller's acclaimed SF classic A Canticle for Leibowitz opens with the accidental excavation of a holy artifact: a creased, brittle memo scrawled by the hand of the blessed Saint Leibowitz, that reads: "Pound pastrami, can kraut, six bagels--bring home for Emma." To the Brothers of Saint Leibowitz, this sacred shopping list penned by an obscure, 20th-century engineer is a symbol of hope from the distant past, from before the Simplification, the fiery atomic holocaust that plunged the earth into darkness and ignorance. As 1984 cautioned against Stalinism, so 1959's A Canticle for Leibowitz warns of the threat and implications of nuclear annihilation. Following a cloister of monks in their Utah abbey over some six or seven hundred years, the funny but bleak Canticle tackles the sociological and religious implications of the cyclical rise and fall of civilization, questioning whether humanity can hope for more than repeating its own history. Divided into three sections--Fiat Homo (Let There Be Man), Fiat Lux (Let There Be Light), and Fiat Voluntas Tua (Thy Will Be Done)--Canticle is steeped in Catholicism and Latin, exploring the fascinating, seemingly capricious process of how and why a person is canonized. --Paul Hughes

<

La « lèpre cotonneuse », ce terrible virus qui décimait l'humanité, ne laissait aucun répit aux savants.
     La police, quant à elle, se perdait en hypothèses sur les raisons qui poussaient de mystérieux individus à prélever le cerveau des accidentés de la route...
     De son côté, le biologiste Serge Mareuil s'interrogeait sur l'étrange incombustibilité tissulaire de sa laborantine, qui elle-même traîtreusement, cherchait à l'attirer dans un piège terrifiant...
     L'Ere des Biocybs avait commencé !
<

Cycle : Western Genre : Western Titre original : Texas Fists Traducteur : Yves-André Berger<

Les Xluongs, race bestiale d'Extra-Terrestres, font régner la terreur en de nombreux systèmes solaires. Des camps de concentration se dressent un peu partout. Des Terriens et humanoïdes d'autres mondes pactisent avec l'occupant, oppriment leurs frères sans pitié. Collaborateurs serviles, les miliciens plastronnent... jusqu'au jour où un mystérieux symbole lumineux apparaît dans le ciel, préludant à une série de catastrophes inexplicables pour les Xluongs. Malgré leurs astronefs de combat, leurs armes fantastiques, les barbares envahisseurs sentent alors l'angoisse les gagner...
<

Quand Gilles Novak et Régine, roulant vers Fontainebleau, se réveillèrent dans leur voiture téléportée en pleine montagne, ils n'en crurent pas leurs yeux. Quand le même phénomène fit apparaître Charles Floutard dans sa BX, puis Raymond Audemard, ronflant dans sa barbe, le front appuyé contre le volant de sa minuscule auto, la stupeur fut à son comble ! Pourtant Gilles et ses amis étaient loin de soupçonner l'ampleur de la catastrophe dont la Terre allait subir les effets...

<

Jaïlana se mordit les lèvres. Les occupants de la capsule spatiale n'avaient plus le moindre contrôle sur le troisième étage. Or, tant que celui-ci n'aurait pas été largué, il était impossible de se servir des fusées d'appoint, dont la mise à feu ne pourrait se solder que par l'explosion de l'astronef tout entier.
     — Trajectoire hyperbolique, souffla Zual. Vitesse de libération atteinte.
     Cette annonce fit naître des larmes d'impuissance dans les yeux violets de Jaïlana. La capsule s'éloignant inéluctablement de la planète, seul un miracle pouvait sauver ses occupants.
     Un miracle accompli par le dieu vivant Gridban... ou par Blade et Baker
<

Les Batoogshans sont sur le point de lancer une offensive sur toute la frange orientale de la Confédération. Cette attaque doit se produire cet après-midi, aux environs de dix-sept heures. Il nous reste donc à peine treize heures pour réagir, conclut Ronny Blade. Un silence de mort s'installa dans le poste de pilotage du Maraudeur où s'était rassemblé l'équipage du lourd astronef de la B and B Co. Treize heures... Mais que pouvait faire un unique vaisseau contre tout un peuple dont la seule préoccupation, depuis des millénaires, était de détruire quiconque s'opposait à leur « Grand Projet de Conquête de l'Univers » ?<

Un arc électrique d'une luminosité insoutenable traversa la soute. Il y eut un bruit sourd, évoquant celui d'une explosion lointaine, et de la fumée apparut, accompagnée d'une gerbe d'étincelles violines.
     Le téléporteur explosa, projetant dans toutes les directions une pluie de débris qui crépita sur la vitre blindée de la cabine de contrôle. Lorsqu'elle cessa, au bout de quelques secondes, un épais nuage noir emplissait celle-ci de ses volutes menaçantes.
     — Que... Que s'est-il passé, professeur ? interrogea Tex.
     — Nous n'avons plus de téléporteur. Tout simplement.
     — Vous voulez dire que M. Blake et ses amis sont bloqués à l'intérieur de Kenndor ?
     Krasbaueur acquiesça, sinistre.
<

Le cri perçant d'un cormoran retentit lugubrement dans la nuit. En cette veillée de Toussaint, la presqu'île de Crozon, giflée par des rafales d'une pluie glacée que le vent exaspère, semble livrée aux forces des Ténèbres. Debout sur une charrette tirée par une vieille rosse décharnée, un personnage squelettique, armé d'une grande faux, parcourt la lande. C'est l'Ankou, le faucheur d'âme. Gare à celui sur qui se posent ses yeux vides : il est irrémédiablement entraîné vers l'Au-delà !
     C'est sur ces terres âpres et sauvages, où règnent les créatures maléfiques qui peuplent la légende bretonne, que les Chevaliers de Lumière devront affronter le Spectre de la Mort, un combat titanesque au cours duquel Régine Véran disparaît, enlevée par les monstres qui détiennent les clés d'Ys, la cité engloutie. Gilles Novak parviendra-t-il à arracher sa compagne des griffes de l'Ankou ?
<

Réunis pour un colloque à Daoulas, les Chevaliers de Lumière vont à nouveau plonger au coeur de la légende bretonne, entraînés cette fois dans les soubressauts d'une guerre fraticide que se livrent les descendants de la communauté d'Ys depuis le cataclysme qui, vers l'an 450 de notre ère, a englouti la ville et ses trésors, quelque part au large de la baie de Douarnerez. Autour du roi Gradlon, garant des principes d'harmonie et d'équité qui prévalaient du temps de sa splendeur, les uns veulent restaurer la cité dans sa majestueuse beauté, tandis que leurs opposants, partisans d'un dieu violent, pétri de haine et vindicatif, leur mènent une chasse sans pitié, avec pour seul objectif : détruire la ville et tout ce quelle représente. Or, lorsque Gilles Novak et ses compagnons se lancent dans la bataille, une mystérieuse croix de cornaline a disparu, une pierre dont dépend sans doute l'avenir de la cité...

<

Fun books

Choose a genre