Con Sarum, Edward Rutherfurd se adentra esta vez en los entresijos históricos de la civilización británica, civilización que cobra vida a través de los acontecimientos que tuvieron lugar en la zona de Salisbury a lo largo de casi cien siglos.Los parajes de Salisbury serán el escenario por el que transcurran las agitadas vidas de cinco familias muy diferentes. Se trata de los Wilson y los Shockley, envueltos en una espiral de rivalidad y venganza durante más de cuatrocientos años; de los Mason, involucrados en la creación de lugares como Stonhenge o la catedral de Salisbury; de los Porter, descendientes de un joven soldado romano en el exilio; y de los aristocráticos Godefroi, que caerán en la miseria absoluta antes lograr recuperar su fortunaComo hizo en London y Rusos, Rutherfurd combina con habilidad un cuidado detalle histórico, una serie de aventuras trepidantes y unos personajes muy reales.
1er juillet 1658. Louis XIV vient de triompher des Espagnols à la bataille des Dunes, près de Dunkerque, quand la victoire change brusquement de camp : le roi est terrassé par une fièvre liée aux cadavres des soldats. A moins d'un miracle, il mourra le soir-même. Mais ne l'aurait-on pas plutôt empoisonné ? Antoine Petitbois, espion de la Couronne, n'en doute pas. Accompagné d'Isaac Renaudot, le fils du savant, il dispose d'à peine quelques heures pour démasquer le criminel et lui arracher la formule de l'antidote. Or les pistes ne manquent pas. Est-ce Condé, le prince frondeur ? Ou la belle Marie Mancini, sa maîtresse et la nièce de Mazarin… ? A moins que le Cardinal lui-même… ? La Vérité pourrait être encore plus formidable. Et rebondir vingt ans plus tard, au milieu de la retentissante Affaire des poisons dans laquelle se débat Nicolas de la Reynie, le premier lieutenant de police du royaume. Car le Mal est toujours là, prêt à tout pour provoquer l'éclipse du Roi-Soleil…
[Guerre des Ténèbres-3] La Folie du dieu noir
Compagnie avait tout organisé sur Alpha-Park: le jeu, le défoulement, l'aventure. Avec de tels slogans publicitaires, elle attirait les clients venus de la Terre.Même les autochtones du coin appartenaient à la Compagnie. Mais quand j'appris exactement leur origine, mes cheveux se dressèrent sur la tête. Je trouvai que la Compagnie y allait un peu fort. Non seulement elle vous piquait tout votre fric, mais elle vous acculait à devenir soit un Exclu, soit un Folklorique. Je choisis le Folklore, à cause de ma mission. Je compris que j'avais mis les pieds dans un engrenage irréversible.Je me regardai dans une glace. C'était donc ça, les indigènes! Je préférais un bon petit coin peinard sur la Terre, dans une, île paradisiaque du Pacifique...
Apportez moi la tete du prince charmant
Pauvre, pauvre diable ! Un démon plus brimé, plus maudit, plus damné qu’Azzie, ça n’existe pas. Il a pourtant une riche idée pour le concours du Millénaire, qui décide de la prépondérance du Bien ou du Mal sur le destin des hommes pour les mille ans à venir ! Mais, c’est bien connu, on n’est pas aidé. Ni sur terre ni en enfer… Il est plutôt bon diable, Azzie, entièrement voué au Mal. Il dispose d’une carte de crédit satanique illimité, il peut commander une forêt enchantée, une épée modérément magique (les vraiment magiques sont en rupture de stock), un château ensorcelé, et tout et tout… Mais le Bien s’insinue sournoisement dans ses oeuvres, et chaque fois, Azzie se casse la figure ! Navrant, non ? Le fantastique devient alors délirant, et l’humour triomphe. L’amour aussi, incidemment…