Le gonzier qui passe sa vie dans ses charentaises, à concocter d'illusoires tiercés et quintés plus, ne peut pas s'imaginer tous les amphigouris de ce monde.

Je te prends « la fête du banc », dans l'Utah, tu savais qu'elle existait, toi ?

Moi non plus.

Ben, elle existe, mon vieux, et j'ai failli m'y faire lyncher.

Béru, M. Félix, le Marquis ont eu des avaries de paf si terrifiantes que leur trompes de l'émisphère sud, mondialement réputées, filaient la gerbe aux coyotes.

Si t'as pas peur d'affronter le bizarre, lis ce book d'extrème urgence. Tu y rencontreras d'inoubliables personnages : Roy, dit « Petit Gibus », qui, à six ans, pilote une dépanneuse ; Ivy, la femme du pasteur qui raffole de la levrette ; Le cow-boy suisse qui tire plus vite que son ombre. Sans parler du shérif, un drôle de pourri qui m'a viandé de première !

Non, franchement, t'as pas le droit de passer à côté de cette histoire.

Si tu négligeais la lecture de , tout le monde se foutrait de la gueule.

T'as pas besoin de ça !

Alors çui-là, mon pote, pour te le résumer !… J'ai demandé de l'aide, mais Montaigne lui- même n'a pu y arriver.

Attends, je vais tout de même essayer…

C'est l'histoire d'un trio de terroristes, planqués chez l'ancien colonel Casimir Lemercier, et qui braque un fusil à lunette d'un genre très spécial sur le restau où je suis en train de bouffer avec ma maman.

Et puis…

Non, je m'y prends mal.

C'est l'histoire d'une petite journaliste qui veut écrire plus haut que son joli cul et qui…

Ça ne va pas non plus !

Voilà, c'est comme ça : Condor-miro, un vieil Indien qui crèche au cœur de l'Amazonie, entend, par une belle nuit équatoriale…

Non, non ! Ça non plus, je le sens pas.

Quoi donc ?

Eh bien, achète ce book, tu verras illico !

Tu te rappelles le Vieux ? L'homme au crâne poli et à la langue agile ? Chilou, mon prédécesseur Achille, notre bon vieux Dirlo, le Dabe, dont l'exquise politesse n'avait d'égale que la mauvaise foi.

Eh bien ! figure-toi qu'il a disparu !

Volatilisé, le bouffeur de chagattes !

En même temps qu'une petite comédienne dont les « coups de chaleur » sont réputés à Paris et dans la France métropolitaine. En apprenant ça, tu te dis qu'ils sont allés enfiler le parfait amour dans un coin peinard ?

Zob, mon pote ! A côté de la plaque ! Quand tu sauras ce qui s'est passé, t'auras les roustons qui te gicleront des orbites !

Dans ce , on y va à fond la caisse !

Emporte ton détachant pour les éclaboussures !

Ça commence comme ça : t'as un gars qui fait du patin à roulettes dans Paris.

Il arrive devant une terrasse de brasserie, s'arrête et flingue un consommateur.

N'après quoi, il file comme un dard.

Le consommateur avait un sac bourré d'osier à ses pieds. Mais personne ne s'en préoccupe.

Tu trouves pas ça blizzard, toi ?

Si, hein ?

Ben alors, qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Lis ce book ! A moins que tu sois maso et rêves de mourir idiot !

La vérité ?

Rarement je suis passé aussi près de la grande faucheuse que dans ce book.

Un tout petit peu plus, c'était : « bon suaire, m'sieurs-dames » sur l'air des lampions.

Et tout ça, tu veux que je te dise ?

A cause d'une gentille opticienne qui n'avait pas mis de culotte pour faire sa vitrine.

Nous autres tringleurs, on est peu de chose, tu sais !

Pendant que j'y pense : n'en parle pas à maman, elle se ferait du mouron. Tu connais Félicie !…

C'est beau, un bordel.

C'est confortable.

On y passe généralement de bons moments.

Sauf quand il y vient des gens bizarres.

Alors il arrive que les choses se gâtent et qu'on se mette à y mourir à qui mieux mieux.

Un conseil : ne jamais ouvrir la fenêtre donnant sur la rue, sinon t'es obligé d'appeler les pompiers. Et les pompiers dans un bordel, quoi que tu en penses, ça la fout mal !

Que tu sois religieux ou non, l'idée te viendrais jamais d'aller zinguer quelqu'un dans un confessionnal, je parie ?

Eh bien tout le monde n'est pas comme toi, mon joli ! A preuve, cette dame défuntée de mort violente dans la guitoune aux péchés.

Mais le plus farce, si j'ose dire, c'est qu'elle-même s'apprêtait à flinguer son confesseur ! Tu parles d'une chasse à courre, mon neuveu !

Cela dit, ce que je te raconte n'est que le début du .

Son gracieux point de départ.

Je te cause pas de l'arrivée !

Alors là, espère : ceux qu'auront pas numéroté leurs abattis auront intérêt à retourner chez leur mère pour lui demander qu'elle les refasse !

Après tout, pourquoi elles auraient pas droit à un brouillon, les mamans ? Je constate de plus en plus qu'en neuf mois t'as pas le temps de faire quelque chose de bien !

Le plus terrifiant bras de fer de ma carrière me met aux prises avec un tyran fou.

Il pleut des morts !

Partout le danger !

D'accord, je baise énormément pour pouvoir conserver le moral, n'empêche que je traverse une zone à hauts risques davantage semée d'embûches que la place de la Concorde.

Là où je vais, si tu veux revoir Paris, faut ouvrir l'œil et serrer les miches.

Seulement moi, tu me connais ?

C'est les poings que je serre et la porte de devant de mon bénard que j'ouvre.

En grand !

C'est bon pour la ventilation de mes aumônières.

Faut toujours se gaffer des pays où il ne se passe rien.

Parce que en général, il s'y passe des trucs-machins pires qu'ailleurs.

Ainsi de l'Uruguay.

Moi je croyais que Montevideo, sa capitale, n'était intéressante que pour les cinq pieds qu'elle apporte à une chanson.

Fume !

Si nous n'avions pas été à la hauteur, Béru et moi, on y aurait laissé nos belles plumes de coq !

Heureusement qu'on a pu s'y faire rigoler la zize à s'en gonfler les amygdales sud !

Quand on a tout paumé, il nous reste au moins le chibre.

Nos petites potesses n'en demandent pas davantage, t'es d'accord ?

D'après certains renseignements que j'ai obtenus, il y a deux basset-hound dans la vie de San-Antonio.

Le premier était une chienne nommée Jezabelle, mais qui s'appellait Belle tout court. Elle est morte pour avoir mangé une taupe empoisonnée.

Le deuxième, c'est moi : Salami.

Malgré mes origines britanniques, je sors d'un élevage italien dirigé par un ancien chef de la Police romaine.

Je dispose de plusieurs particularités dont la principale est de comprendre couramment le langage humain, voire même de le parler pour peu qu'on établisse un code.

Autre singularité de mon personnage : je préfère les femmes aux chiennes, bien que je n'aie pas eu l'occasion d'en consommer à ce jour.

Encore un fait saillant : je ne réponds pas quand on me siffle. Mon hérédité anglaise, sans doute. Au restaurant, j'abomine « la gamelle à Médor » sous la table. Généralement, je prends mon repas assis sur une chaise, en face ds San-A.

J'ai encore beaucoup, beaucoup d'autres choses pas tristes à révéler ; mais je ne vais pas résumer au dos d'une couverture ce que mon connard de maître à raconté en trois cents pages !

Il aurait l'air de quoi ?

Ah ! si M. Prince n'avait pas fauché le truc magique du tueur pendant que M. Adolphe s'envoyait Mme Eva, rien de tout cela ne serait arrivé.

T'aurais pas eu droit aux coliques incoercibles de Pinuche, ni au coït flamboyant de Béru, non plus qu'à l'hécatombe ci-jointe.

Et à moi, ça m'aurait évité 250 pages de déconnage.

Mais t'es pas forcé de les lire.

La nouvelle est tombée, sèche comme un coup de bite d'octogénaire : il n'existe, dans notre bon vieux système solaire, aucune planète habitée en dehors de la notre !

Je le pressentais, mais ça fait tout de même un choc. Nous sommes juste quelques milliards de glandus à nous branler les cloches sur une boule minuscule perdue dans l'immensité sidérale. Ça te remonte pas les testicules à la place des amygdales, toi ?

Les gens existent et sont cruels ! Comment se peut-ce ?

Je te prends les personnages de ce livre…

Des démons vivants ! Des sadiques ! Des sangunaires !

A sulfater tout crus !

A empiler dans une fosse emplie de chaux vive !

Les frangines pire que les matous !

Te sucent le pénis, mais te bouffent les roustons à pleines chailles ! Se laissent baiser pour mieux te véroler l'existence !

Comparé à elles, le démon est un enfant de chœur qui gagne à être connu.

J'exagère ?

Viens faire un tour dans ce , tu comprendras !

Allez, ! C'est l'heure de la prière.

Voici un « San-Antonio » comme vous n'en avez encore jamais vu ! Une parodie débridée de l'érotisme qui, de nos jours, submerge le monde de la littérature et du spectacle. Que vous soyez virils ou impuissants, la lecture de ce livre vous passionera. Jamais San-Antonio n'est allé aussi loin dans la caricature, dans la bouffonnerie, dans la farce, dans « l'hénorme ».

« La Sexualité » est grouillante de personnages démesurés qui appartiennent désormais à la littérature.

From the author of the post-apocalyptic classic Alas, Babylon, comes this eerie, cold war thriller. A young teenage couple having a rendezvous one night on a beach in Florida suddenly sees a submarine emerge from the ocean. Armed soldiers disembark the vessel and a Buick drives off its landing ramp. For Henry Hazen, who is scheduled to ship out to an army training camp the next day, the sight leaves him uneasy, but he tells no one what he has witnessed. Katherine Hume is the only woman working for the Pentagon’s Atomic Energy Commission. From intelligence they have gathered, she and her team are convinced the Russians are poised to conduct a nuclear attack on the U.S. on or shortly before Christmas. But convincing their superiors an attack is imminent is proving far more difficult than she could have imagined—even after several stealth fighter planes and their pilots go missing over the Gulf. Banker Robert Gumol sees all the signs that the big attack is finally coming. As a reluctant spy for the Russians, Gumol’s loyalties lie more with his adopted country than his motherland. Deciding to take the next flight to Havana, he risks being executed by the Russians if his betrayal is discovered—but he’s willing to put it all on the line for a chance at freedom. With the clock ticking, the fate of America hangs by a very thin thread. A classic of science fiction that is a cautionary tale of the dangers of nuclear power, Forbidden Area is as timely today as it was when it was first published in 1958.

SOON TO BE A MAJOR MOTION PICTURE STARRING PIERCE BROSNAN—IN THEATERS AUGUST 27!

The president learned long ago that the CIA could not be trusted. And so he created his own group of deadly efficient men to gather independent intelligence: a watchdog organization to keep the CIA in check. R Section was born.

Until he heard those four simple words, Devereaux thought he’d left his days in R Section behind. He was no longer The November Man, an American field officer in the vice-grip of duty and danger—and the most brilliant agent R Section had ever produced. When he receives the cryptic message from Hanley, his former handler, Devereaux has no idea he’s about to be reactivated into a mission to save both his life and R Section itself. He’s not aware that a beautiful KGB agent has been ordered to stalk and kill him—or that Hanley is now in a government-subsidized asylum for people with too many secrets. And he doesn’t know that zero hour ticks closer for an operation to catch a master spy… with Devereaux the designated pawn.

What The November Man doesn’t know can kill him.

A week later, Alex Marston, the headstrong fifteen year old daughter of the British Ambassador disappears. Army Intelligence Officer Tom Fox, posted to Moscow to keep him from telling the truth to a government committee, is asked to help find her. It’s a shot at redemption.

But Russia is reluctant to give up the worst of her secrets. As Fox’s investigation sees him dragged deeper towards the dark heart of a Soviet establishment determined to protect its own so his fears grow, with those of the girl’s father, for Alex’s safety.

And if Fox can’t find her soon, she looks likely to become the next victim of a sadistic killer whose story is bound tight to that of his country’s terrible past…

A missing scientist. A desperate spy. It’s 1961, and the white heat of the Space Race is making the Cold War even colder. The age of global surveillance dawns. Secret Agent Richard Knox has been hung out to dry by someone in MI5, and he needs to find the traitor in their midst. Meanwhile in a closed city outside Leningrad, top Soviet Scientist Irina Valera discovers the secret to sending messages through space, a technology that could change the world. But an accident forces her to flee. Desperate for a way back into MI5, Knox makes an unlikely ally in Abey Bennett, one of the CIA's only female recruits, while Valera’s technology in the hands of the KGB could be catastrophic. As three powers battle for dominance, three people will fight to survive….

Following multiple economic crises and a devastating flu pandemic, Europe has fractured into countless tiny nations, duchies, polities and republics. Recruited by the shadowy organisation , Rudi is schooled in espionage, but when a training mission to The Line, a sovereign nation consisting of a trans-Europe railway line, goes wrong, he is arrested, beaten and Coureur Central must attempt a rescue.

With so many nations to work in, and identities to assume, Rudi is kept busy travelling across Europe. But when he is sent to smuggle someone out of Berlin and finds a severed head inside a locker instead, a conspiracy begins to wind itself around him.

With kidnapping, double-crosses and a map that constantly re-draws, Rudi begins to realise that underneath his daily round of plot and counter plot, behind the conflicting territories, another entirely different reality might be pulling the strings…

A murder in a Tehran hotel leaves the London art world spinning. The deceased, beloved at home as a proud dealer in antiquities, now stands accused of smuggling artifacts out of Iran for sale in the West. But despite the triumphal announcements of the secret police, there is something perhaps too tidy in the official report—given that no artifacts have been recovered, no smuggling history discovered, no suspects found.

Half a world away, Darius Qazai delivers a stiring eulogy for his departed friend. A fabulously successful financier, Qazai has directed his life and wealth toward philanthropy, art preservation, and peaceful protest against the regime of his native Iran. His fortune, colossal; his character, immaculate. Pleasantly ensconced in the world of the London expatriate elite, Qazai is the last person anyone would suspect of foul play. Yet something ominous is disrupting Qazai’s recent business deals, some rumor from his past so frightening to his American partners that they will no longer speak to him.

So Qazai hires a respectable corporate intelligence firm to investigate himself and clear his reputation. A veteran of intelligence work in the former Soviet Union, Ben Webster soon discovers that Qazai’s pristine past is actually a dense net of interlocking half-truths and unanswered questions: Is he a respectable citizen or an art smuggler? Is his fortune built on merit or on arms dealing? Is he, after all, his own man? As he closes in on the truth of Qazai’s fortune—and those who would wish to destroy it—Webster discovers he may pay for that knowledge with the lives of his own family.

A vivid and relentless tale of murderous corporate espionage, follows the money through the rotten alleys of Marrakech and the shining spires of Dubai, from the idyllic palaces of Lake Como to the bank houses of London’s City. plunges readers into a Middle East as strange and raw as ever depicted, where recent triumphs rest uneasily atop buried crimes and monumental greed.

Racing between London and Moscow, Kazakhstan and the Caymans, reveals a sinister unexplored world where the wealthy buy the justice they want—and the silence they need. The first novel by Chris Morgan Jones—after his eleven years of work at the world’s largest business intelligence agency— introduces Benjamin Webster, mercenary spy to the rich and powerful. Hired to destroy a Russian oil baron, Webster discovers that his target’s weak spot is a diffident English lawyer who hides the money generated from his master’s vast criminal empire. Soon Webster’s questions cause the lawyer’s fragile world to crumble, forcing them both into a desperate race around the world to escape the oligarch’s vengeance.