Je dédie ce livre à mon bon confrère et ami Jules Stéphane.

Pour Stanislas-André Steeman :

À la page 111 de votre
Mannequin Assassiné, vous avez écrit : Il faudrait jeter cette maison par terre : elle me fait l’effet d’un monstrueux éteignoir. Le passé la ronge comme un cancer. Je ne puis cependant faire sauter la baraque, comme nous nous y essayions lorsque nous étions gosses.

Ces mots, Steeman, me hantent.

Je devrais poser « Malpertuis » sous leur signe si j’en avais le droit. Mais les plus redoutables projectiles auraient beau faire fougasse dans son ombre, ils ne feraient pas frémir les vitres de sa façade.

© Éditions Gérard & C°, Verviets (Belgique), 1962.