« Car dans ce sommeil de la mort les rêves qui peuvent surgir,
Quand nous aurons quitté le tourbillon de vivre,
Arrêtent notre élan. C’est là la pensée
Qui donne au malheur une si longue vie.
Car qui voudrait supporter les fouets et la morgue du temps,
Les outrages de l’oppresseur, la superbe de l’orgueilleux,
Les affres de l’amour dédaigné… ? »
William Shakespeare
Hamlet, Acte III, scène i
(traduction de Jean-Michel Déprats)