CHAPITRE IV

Sommaire:—Je suis remplacé dans le commandement de la Provençale, et je demande un congé pour Paris.—Promotion prochaine.—Visite au ministre de la Marine, M. de Clermont-Tonnerre.—Entrevue avec le directeur du personnel.—Nouvelle et profonde déception.—Je suis nommé Chevalier de la Légion d'honneur, mais je ne suis pas compris dans la promotion.—Invitation à dîner chez M. de Clermont-Tonnerre.—Après le dîner, la promotion est divulguée.—Tous les regards fixés sur moi.—Au moment où je me retire, le ministre vient me féliciter de ma décoration. Je saisis l'occasion de me plaindre de n'avoir pas été nommé capitaine de frégate.—Le ministre élève la voix. Paroles que je lui adresse au milieu de l'attention générale.—Le lendemain le directeur du personnel me fait appeler.—Reproches peu sérieux qu'il m'adresse. Il m'offre, de la part du ministre, le choix entre le commandement de l'Abeille, celui du Rusé, et le poste de commandant en second de la compagnie des élèves, à Rochefort. J'accepte ces dernières fonctions.—Arrivée à Rochefort.—Séjour à Rochefort pendant la fin de l'année 1823 et les sept premiers mois de 1824.—Voyage à Paris pour l'impression de mes Séances nautiques.—Le jour même de mon arrivée à Paris, le 4 août 1824, je suis nommé, à l'ancienneté, capitaine de frégate.—Mes anciens camarades Hugon et Fleuriau.—Fleuriau, capitaine de vaisseau, aide de camp de M. de Chabrol, ministre de la Marine.—Il m'annonce que le capitaine de frégate, sous-gouverneur du collège de Marine à Angoulême, demande à aller à la mer.—Il m'offre de me proposer au ministre pour ce poste.—J'accepte.—Entrevue le lendemain avec M. de Chabrol.—Gracieux accueil du ministre.—Je suis nommé.—Nouvelle entrevue avec le ministre.—Il m'explique que je serai presque sans interruption gouverneur par intérim. M. de Gallard gouverneur de l'école de Marine. 315

LIVRE V
MA CARRIÈRE À PARTIR DE MA NOMINATION AU COLLÈGE DE MARINE

CHAPITRE PREMIER

Sommaire:—Plan de conduite que je me trace.—La ville d'Angoulême.—Une École de Marine dans l'intérieur des terres.—Plaisanteries faciles.—Services considérables rendus par l'École d'Angoulême.—S'il fallait dire toute ma pensée, je donnerais la préférence au système d'une école à terre.—En 1827, M. de Clermont-Tonnerre, alors ministre de la Guerre, au cours d'une inspection générale des plates fortes, visite le Collège de Marine.—En l'absence de M. de Gallard, je suis gouverneur par intérim et je le reçois.—Le prince de Clermont-Tonnerre, père du ministre, qui voyage avec lui, me dit que son premier colonel a été un Bonnefoux.—Il fait, à son retour à Paris, obtenir à mon fils une demi-bourse au Prytanée de La Flèche.—En 1827, je demande un congé pour Paris.—Promesses que m'avait faites M. de Chabrol eu 1824, sa fidélité à ses engagements.—Bienveillance qu'il me montre.—Ne trouvant personne pour me remplacer il fait assimiler au service de mer mon service au Collège de Marine.—Je retourne à Angoulême.—Le ministère dont faisait partie M. de Chabrol est renversé.—Le nouveau ministère décide la création d'une École navale en rade de Brest. Il supprime le Collège de Marine d'Angoulême, et laisse seulement s'achever l'année scolaire 1828-1829.—Je reçois un ordre de commandement pour l'Écho.—Au moment où le franchissais les portes du collège pour me rendre à Toulon un ordre ministériel me prescrit de rester.—Projet d'École préparatoire pour la Marine, analogue au Collège de la Flèche.—On m'en destine le commandement.—M. de Gallard intervient et se le fait attribuer.—Ordre de me rendre à Paris.—Offre du poste de gouverneur du Sénégal, que je refuse.—Le commandant de l'École navale de Brest.—Promesse de me nommer dans un an capitaine de vaisseau.—Le directeur du personnel me presse de servir en attendant comme commandant en second de l'École navale.—Je ne puis accepter cette position secondaire après avoir été de fait, pendant cinq ans, chef du Collège de Marine. 325

CHAPITRE II

Sommaire: Le commencement de l'année 1830.—Situation fâcheuse.—Je suis chargé des tournées d'examen des capitaines de la Marine marchande dans les ports du Midi.—Expédition d'Alger.—Je demande en vain à en faire partie.—La révolution de 1830.—M. de Gallard.—Je refuse de le remplacer si on le destitue.—Il donne sa démission.—Démarche spontanée des cinq députés de la Charente en ma faveur.—Au ministère on leur apprend que je suis nommé au commandement de l'École préparatoire.—J'arrive à Angoulême avec le dessein de m'y établir d'une façon définitive.—Nouvelle ordonnance sur l'avancement.—Le vice-amiral de Rigny.—Ordonnance qui supprime brutalement l'École préparatoire.—On ne permet même pas aux élèves de finir leur année scolaire.—Offres qui me sont faites à Angoulême.—Je les refuse et je pars pour Paris.—La fièvre législative en 1831.—La loi sur les pensions de retraite de l'armée de terre.—Projet tendant à l'appliquer à l'armée de mer.—Atteinte portée aux intérêts des officiers de marine.—Le Conseil d'Amirauté.—Requête que je lui adresse.—Je fais une démarche auprès de M. de Rigny.—Réponse du ministre.—La fièvre législative me gagne.—Après avoir entendu lire le projet de loi à la Chambre des députés, je me rends chez M. de Chabrol.—Retour sur la vie politique de M. de Chabrol.—M. de Chabrol dans le cabinet Polignac.—Sa destitution.—Les votes de M. de Chabrol comme pair de France après la Révolution de 1830.—Accueil bienveillant que je trouve auprès de lui.—Profond mécontentement de M. de Chabrol en apprenant que, d'après le projet ministériel, le service des officiers qui avaient rempli à terre des fonctions assimilées à l'embarquement ne leur était pas compté.—Copie de la lettre que M. de Chabrol m'écrit séance tenante et de celle qu'il adresse au ministre.—Nouvelle pétition à M. de Rigny.—Entrevue de M. de Chabrol et M. de Rigny à la Chambre des pairs.—Déclaration faite par M. de Chabrol. Il est alors convenu qu'un des députés, auxquels j'en avais déjà parlé, déposerait un amendement et que M. de Rigny ne le combattrait pas.—L'amendement est adopté.—Mes droits sont reconnus et je suis placé sur la liste des officiers ayant rempli les conditions voulues pour changer de grade.—Le nombre des capitaines de vaisseau est réduit de 110 à 70, celui des capitaines de frégate de 130 à ce même nombre de 70; appréciation de la mesure.—Je suis de nouveau chargé des examens pour les capitaines de la Marine marchande, d'abord dans les ports du Nord, ensuite dans ceux du Midi.—Comment je comprends mes fonctions.—Je compose un Dictionnaire de Marine abrégé.—Quelques-uns de mes compatriotes de l'Hérault me proposent une candidature à la Chambre des députés.—Revers financiers.—En 1835, je sollicite le commandement de l'École navale pour le cas où il deviendrait vacant.—Des capitalistes m'offrent la direction d'une entreprise industrielle.—Le ministère refuse de m'accorder jusqu'en 1836 un congé avec demi-solde ou même sans solde, pour me permettre d'achever ma période de douze années de grade.—Je reviens alors à mes demandes d'embarquement, mais le commandant de l'École navale insistant pour être remplacé, je suis nommé capitaine de vaisseau, le 7 novembre 1833 et appelé au commandement du vaisseau-école l'Orion.—Paroles aimables que m'adresse à ce propos l'amiral Duperré, ministre de la Marine.—Lettre que j'écris à M. de Chabrol.—Une année de commandement de l'École navale. 334

Vie de mon cousin le baron C. de Bonnefoux, ancien préfet maritime
CHAPITRE PREMIER
CARRIÈRE DU BARON DE BONNEFOUX JUSQU'EN 1803

Sommaire: Origine du baron Casimir de Bonnefoux.—Son éducation, sa personne.—Entrée dans la marine.—La guerre de l'Indépendance d'Amérique.—La frégate la Fée.—Campagnes postérieures.—La Révolution.—Émigration des frères de M. de Bonnefoux.—Son incarcération à Brest.—Il est promu capitaine de vaisseau, puis chef de division.—L'amiral Morard de Galle.—Le vaisseau le Terrible.—Séjour de plusieurs années à Marmande.—Voyage à Paris en vue de faire rayer un ami de la liste des émigrés.—L'amiral Bruix, ministre de la Marine.—M. de Bonnefoux est nommé adjudant général du port de Brest.—Son œuvre.—Armement de l'escadre de l'amiral Bruix.—Histoire du vaisseau la Convention, armé en soixante-douze heures.—Le Consulat.—L'organisation des préfectures maritimes.—M. de Caffarelli.—Démarches faites par M. de Bonnefoux pour quitter la marine.—Refus de sa démission par le premier consul.—Paroles qu'il prononce à cette occasion.—M. de Bonnefoux est nommé au commandement du vaisseau le Balave.—Offres obligeantes du préfet de Caffarelli.—L'inspection générale de côtes de la Méditerranée donnée à M. de Bonnefoux. 353

CHAPITRE II
M. DE BONNEFOUX, PRÉFET MARITIME DE BOULOGNE

Sommaire:—La paix d'Amiens.—Reprise des hostilités.—L'empire.—Le chef-lieu du premier arrondissement maritime transporté de Dunkerque à Boulogne.—M. de Bonnefoux préfet maritime du premier arrondissement.—Projets de débarquement en Angleterre.—La flottille.—Activité de M. de Bonnefoux.—Son aide de camp, le lieutenant de vaisseau Duperré.—Anecdote relative à l'amiral Bruix.—Gouvion-Saint-Cyr.—M. de Bonnefoux nommé d'abord officier de la Légion d'honneur est plus tard créé baron.—Les Anglais tentent d'incendier la flottille.—Leur échec.—Le préfet maritime favorise l'armement de corsaires.—Insinuations du ministre de Crès.—Napoléon et la Marine.—Abandon progressif de la flottille de Boulogne.—M. de Bonnefoux passe du Ier au Ve arrondissement maritime.—Regrets qu'il laisse à Boulogne.—Vote unanime du Conseil municipal de cette ville. 362

CHAPITRE III
LA PRÉFECTURE MARITIME DE ROCHEFORT

Sommaire:—Difficultés que rencontre M. de Bonnefoux pour approvisionner l'escadre de la rade de l'île d'Aix pendant une année de disette.—Le pain de fèves, de pois et de blé d'Espagne.—Réformes apportées dans la mouture du blé et la confection du biscuit de mer. Mise en état des forts et batteries de l'arrondissement.—Ingénieuse façon d'armer un vaisseau d'une façon très prompte.—M. Hubert, ingénieur des constructions navales.—Projet du fort Boyard.—Le port des Sables d'Olonne.—Le naturaliste Lesson.—Travaux d'assainissement et d'embellissement de Rochefort.—Anecdote sur l'hôtel de la préfecture maritime de Rochefort et M. le comte de Vaudreuil, commandant de la marine sous Louis XVI.—M. de Bonnefoux accomplit un tour de force en faisant prendre la passe de Monmusson au vaisseau de 74, le Regulus, destiné à protéger le commerce de Bordeaux en prenant position dans la Gironde.—Invasion du midi de la France par le duc de Wellington.—Siège de Bayonne.—Bataille de Toulouse.—Occupation de Bordeaux au nom de Louis XVIII.—Résistance du fort de Blaye.—Le fort du Verdon et le vaisseau le Regulus se font sauter.—Reconnaissances poussées par les troupes ennemies jusques à Etioliers sur la route de Bordeaux à Rochefort.—État d'esprit des populations du Midi.—Le duc d'Angoulême à Bordeaux.—Mise en état de défense de Rochefort.—Le Comité de défense décide la démolition de l'hôpital maritime.—M. de Bonnefoux se refuse à exécuter cette décision et prend tout sur lui.—Propos d'un officier général de l'armée de terre.—Attitude du préfet.—Abdication de l'empereur.—La Restauration.—Députation envoyée au duc d'Angoulême à Bordeaux et à l'amiral anglais Penrose.—L'amiral Neale lève le blocus de Rochefort.—M. de Bonnefoux le reçoit.—Anecdote sur deux alévrammes de vin de Constance.—Visite à Rochefort du duc d'Angoulême, grand amiral de France.—Réception qui lui est faite.—Le duc d'Angoulême reçoit le préfet maritime chevalier de Saint-Louis.—Opinion du duc d'Angoulême sur M. de Bonnefoux.—Son désir de le voir appelé au ministère de la Marine. 371

CHAPITRE IV
LES CENT JOURS

Sommaire: Les émigrés.—Retour de l'île d'Elbe.—Indifférence des populations du sud-est.—Arrivée à Rochefort d'un officier, se disant en congé.—Conseils donnés par le préfet maritime au général Thouvenot.—Départ du roi de Paris et arrivée de Napoléon.—M. de Bonnefoux se prépare à quitter Rochefort.—M. Baudry d'Asson, colonel des troupes de la marine.—Son entrevue avec le préfet maritime.—M. Millet, commissaire en chef du bagne.—Motifs pour lesquels M. de Bonnefoux se décide à conserver son poste.—L'empire reconnu militairement.—Défilé des troupes dans le jardin de la Préfecture.—Waterloo.—Seconde abdication de Napoléon.—Mission donnée au général Beker par le Gouvernement provisoire.—Arrivée de Napoléon à Rochefort. 385

CHAPITRE V
NAPOLÉON À ROCHEFORT

Sommaire:—Réflexions faites par M. de Bonnefoux après avoir reçu la dépêche lui annonçant la prochaine arrivée de Napoléon.—Mesures prises par lui.—Paroles échangées entre Napoléon et M. de Bonnefoux au moment où l'empereur descendait de voiture.—L'appartement de grand apparat à la préfecture maritime.—Les frégates la Saale et la Méduse.—Le capitaine Philibert commandant de la Saale.—Ses fréquentes entrevues avec l'empereur.—Discours invariable qu'il lui tient.—Marques d'impatience de son interlocuteur.—Abattement de Napoléon.—Courrier qu'il expédie au Gouvernement provisoire pour obtenir le commandement de l'Armée de la Loire.—Il fait demander le vice-amiral Martin, qui vivait à la campagne auprès de Rochefort.—Carrière de l'amiral Martin.—Sa conversation avec l'empereur.—Reproches obligeants que ce dernier lui adresse sur sa demande prématurée de retraité.—L'amiral répond que bien loin d'aspirer au repos il s'était déjà préparé à aller prendre le commandement de l'armée navale que l'on finit par confier à Villeneuve.—Amères réflexions de Napoléon sur les courtisans.—Ce qu'il dit sur la marine.—Arrivée du roi Joseph.—Son aventure à Saintes.—«Vive le Roi.»—Napoléon sur la galerie de la préfecture maritime.—Excellente attitude de la population.—L'étiquette de la maison impériale.—L'impératrice Marie-Louise.—Arrivée d'une partie des équipages de Napoléon.—Annonce du voyage de l'archiduc Charles à Paris.—Joie qui en résulte.—Déception qui la suit.—Aucune réponse aux courriers expédiés à Paris.—Débat entre Napoléon et Joseph.—Napoléon ne veut pas partir en fugitif, sans autre compagnon que Bertrand.—Joseph tente seul l'aventure et réussit.—Paroles qu'il adresse à M. de Bonnefoux en le quittant.—Cadeau qu'il lui fait.—Les ordonnances de Cambrai.—Violente colère de Napoléon contre la famille royale.—Projet d'évasion du capitaine Baudin, commandant La Bayadère.—Projet du lieutenant de vaisseau Besson.—Projet des officiers de marine Genty et Doret.—Hésitations de l'empereur.—Tous ces officiers furent rayés des cadres de la marine sous la Seconde Restauration.—Mme la comtesse Bertrand.—Elle se jette aux pieds de l'empereur pour le supplier de se confier à la générosité du peuple anglais.—Flatteries auxquelles Napoléon n'est pas insensible.—Le général Beker, beau-frère de Desaix.—Son fils, filleul de Napoléon.—Croix de légionnaire remise par le général Bertrand pour ce fils encore enfant.—Singularité de cet acte.—La rade de l'île d'Aix.—Le Vergeroux.—L'empereur offre au préfet maritime ses équipages et ses chevaux qu'il renonce à emmener.—Refus de M. de Bonnefoux.—Souvenir que Napoléon le prie d'accepter.—Paroles qu'il lui adresse.—Le départ de la préfecture maritime.—Cortège de voitures traversant la ville.—L'empereur prend une autre route et sort par la porte de Saintes.—Inquiétude des spectateurs.—La voiture gagne le Vergeroux par la traverse.—Napoléon en rade passe en revue les équipages.—La croisière anglaise.—En voyant les bâtiments ennemis, l'empereur se rend mieux compte de sa situation.—Il entame des négociations avec les Anglais.—Aucune promesse ne fut faite par le capitaine Maitland.—Nouvelles hésitations de Napoléon.—Lettre du capitaine Philibert au préfet maritime.—Ce dernier le charge de remettre à l'empereur une lettre confidentielle qui décide ce dernier à se rendre à bord du Bellérophon.—Conseils donnés à l'empereur par M. de Bonnefoux. 393

CHAPITRE VI
LA RETRAITE DE M. DE BONNEFOUX

Sommaire:—La nouvelle du départ de Napoléon se répand à Rochefort.—Arrivée du préfet de la Charente-Inférieure, qui vient faire une enquête.—M. de Bonnefoux, son ami de collège, le conduit en rade.—La seconde Restauration.—Mission confiée par le ministre de la Marine à M. de Rigny.—Propos que tient ce dernier.—Destitution de M. de Bonnefoux.—Remise immédiate du service au chef militaire (aujourd'hui le major général).—Situation pécuniaire.—Deux mille francs d'économies après treize ans d'administration.—Le chasse-marée.—Distribution des équipages et de la cave.—Le cheval que montait le général Joubert au moment de sa mort.—La petite propriété de Peyssot auprès de Marmande.—Liquidation de la pension de retraite de M. de Bonnefoux.—Deux ans plus tard, son condisciple le maréchal Gouvion-Saint-Cyr devient ministre de la Marine et le prie de se rendre à Paris.—M. de Bonnefoux s'y refuse.—Après la Révolution de 1830, on lui conseille sans succès de demander la Pairie.—Il consent seulement à se laisser élire membre du conseil du Lot-et-Garonne.—Belle vieillesse de M. de Bonnefoux. 420

Appendice I.—Victor Hugues à la Guyane. 429

Appendice II.—Note sur l'École navale. 435