[159] Var. Jugez si vos discours me rendent mes esprits. (1644-56)
[160] Voyez plus haut, p. 32, note 84.
[161] Var. Et justifiez-vous sans la calomnier. (1648-56)
[162] Toutes les éditions, excepté celles de 1644 et de 1655, donnent: «par vos prospérités;» nous avons néanmoins adopté la leçon pour, qui nous paraît seule offrir un sens.
[163] Var. Votre lâche attentat cherche avec trop de ruses. (1660-64)
[164] Les éditions de 1644 in-12 et de 1648-56 portent, par une erreur singulière: «à vaincre,» pour: «à vivre.»
[165] Var. Si l'on voyoit marcher dessus un même char. (1644-64)
[166] En marge, dans les éditions de 1644: Antoine sort sur le théâtre.
[167] Var. Ni votre dignité vous en pût garantir. (1644-56)
[168] Var. Je l'ai vue, ô César, elle est incomparable. (1644-56)
[169] Voyez plus loin la note du vers 392, (note 640) de la Suite du Menteur.
[170] Var. Vous qui la pouvez mettre au faîte des grandeurs. (1644-60)
[171] L'édition de 1682 donne l'affermir, pour l'affranchir.
[172] Var. Sitôt qu'ils ont pris port, vos chefs, par vous instruits. (1644-64)
[173] Var. César, car le destin, qui m'outre et que je brave. (1644-56)
[174] Cornélie avait épousé Pompée un an après la mort du jeune Crassus, fils du triumvir, qui avait péri avec son père dans la guerre des Parthes.
[175] Var. Encore ai-je sujet de rendre grâce aux Dieux. (1644-56)
[176] Var. Si je dois grâce aux Dieux de ce qu'ils ont permis. (1644-56)
[177] Var. Alors, l'esprit content et
l'âme satisfaite,
Je l'eusse fait aux Dieux pardonner sa défaite. (1644-56)
[178] «Me sera-t-il permis de rapporter ici que Mlle de Lenclos, pressée de se rendre aux offres d'un grand seigneur qu'elle n'aimait point, et dont on lui vantait la probité et le mérite, répondit:
C'est le privilége des beaux vers d'être cités en toute occasion, et c'est ce qui n'arrive jamais à la prose.» (Voltaire.)
[179] Var. Il est mort, et mourant, Sire, il vous doit apprendre. (1644-63)
[180] Var. Jugez César vous-même à ce courroux si lent. (1644-56)
[181] Var. Sire, il porte en son flanc de quoi nous en laver. (1644-63)
[182] Var. Oui, oui, ton sentiment enfin
est véritable:
C'est trop craindre celui que j'ai fait redoutable. (1644-56)
[183] Var. Que ton cœur est sensible, et qu'on le peut percer. (1644-56)
[184] Var. Et n'abandonner pas ma vie et ma puissance. (1644-56)
[185] Var. Ni souffrir que demain tu puisses à ce prix. (1644-56)
[186] L'édition de 1682 porte seule: «aux choix,» au pluriel.
[187] On lit digne, au singulier, dans l'édition de 1656.
[188] Var. Nous pouvons beaucoup, Sire, en l'état où nous sommes. (1644-63)
[189] Var. J'ai remarqué l'horreur qu'il a soudain montrée. (1644-56)
[190] Voyez tome I, p. v de l'Avertissement, en note.
[191] Var. Sire, et ne lui montrez que foiblesse et que crainte. (1644-63)
[192] Toutes les éditions, excepté celle de 1656, portent: «Cette office,» au féminin.
[193] Il y a eu, sans accord, dans toutes les éditions publiées du vivant de Corneille, et même encore dans celle de 1692.
[194] Var. Qu'avec nos citoyens ont pris quelques soldats [194-a]. (1644-56)
[194-a] Voltaire a adopté cette variante dans son texte de 1764.
[195] Var. Mais puisque le passé ne se peut révoquer. (1644-56)
[196] Var. Vous pouvez d'un coup d'œil désarmer sa colère. (1644-56)
[197] Var. Je ne me vante pas de le pouvoir fléchir. (1644-56)
[198] Var. Je crains que de nouveau ma
présence l'irrite;
Elle pourroit l'aigrir, au lieu de l'émouvoir. (1644-56)
[199] Var. Et qu'il en peut prétendre une juste conquête. (1644-56)
[200] Var. Plus hautement assise en captivant son maître. (1644-56)
[201] Var. Qu'après avoir mis bas un si digne adversaire. (1644-56)
[202] Allusion au fameux Veni, vidi, vici, que César écrivit à un de ses amis de Rome après la victoire qu'il remporta plus tard, en Asie, sur Pharnace, fils de Mithridate. Voyez la Vie de César par Plutarque, chapitre L.
[203] Var. Faites grâce, Seigneur, ou
souffrez que j'en donne,
Et fasse voir par là que j'entre à la couronne. (1644-56.)
[204] Var. Par la moitié qu'en terre il a
laissé de lui.
Quoi que la perfidie ait osé sur sa trame,
Il vit encore en vous, il agit dans votre âme. (1644-56)
[205] Var. Quand il la faut attendre, elle est trop cher vendue. (1644-56)
[206] Var. Le foudre punisseur que je vois en tes mains. (1644-56)
[207] Var. Et me laisse encor voir qu'il
y va de ma gloire
De punir son audace avant que ta victoire. (1644-56)
[208] Var. Va, ne perds point le temps, il presse. Adieu: tu peux. (1648-56)
[209] «Ces derniers vers que prononce Cornélie frappent d'admiration, et quand ce couplet est bien récité, il est toujours suivi d'applaudissements. Quelques personnes ont prétendu que ces mots: «tu peux te vanter,» ne conviennent pas, qu'ils contiennent une espèce d'ironie, que c'est affecter sur César une supériorité qu'une femme ne peut avoir. On a remarqué que cette tirade, et toutes celles dans lesquelles la hauteur est poussée au delà des bornes, faisaient toujours un peu moins d'effet à la cour qu'à la ville. C'est peut-être qu'à la cour on avait plus de connaissance et plus d'usage de la manière dont les personnes du premier rang s'expriment, et que dans le parterre on aime les bravades, on se plaît à voir la puissance abaissée par la grandeur d'âme.» (Voltaire.)
[210] Var. Si mon zèle et mes soins le peuvent secourir. (1644-56)
[211] «Garnier, du temps de Henri III, fit paraître Cornélie, tenant en main l'urne de Pompée. Elle dit (acte III, scène III):
C'est la même idée, mais elle est grossièrement rendue dans Garnier, et admirablement dans Corneille. L'expression fait la poésie.» (Voltaire.)—Voyez la Notice, p. 5.
[212] Var. De n'éteindre jamais, ni
laisser affoiblir
L'ardeur de le venger dont je veux m'ennoblir. (1644-56)
[213] Var. Madame, je portai mes pas et mes sanglots. (1644-56)
[214] Dans la Pharsale (livre VIII, vers 715 et 716), Cordus est un questeur de Pompée, qui avait accompagné son général dans sa fuite.
[215] Les éditions de 1644 portent, par erreur évidemment: «dont la tête coupée.»
[216] Var. [Tu peux même à sa veuve en
reporter la cendre[216-a],]
Dans ces murs que tu vois bâtis par Alexandre. (1644-56)
[216-a] Tu peux même à sa veuve en rapporter la cendre. (1644 in-12 et 48-56)
[217] Var. Ces restes d'un héros par le feu consommé. (1644-56)
[218] Var. Tout un grand peuple armé fuyoit devers le port. (1644-56)
[219] Var. Montroit de sa justice un exemple assez beau. (1644-68)
[220] Var. Et lui dis que je cours achever sa vengeance. (1644-56)
[221] «Les curieux ne seront pas fâchés de savoir que Garnier avait donné les mêmes sentiments à Cornélie. Philippe lui dit (acte III, scène III):
Corélie répond:
[222] Var. Quand on s'y voit forcé par
son propre danger. (1644-63)
—Voyez ci-dessus la Notice, p. 5, et la note 211 de la p. 87.
[223] Var. Et que cet intérêt qu'on prend pour sa mémoire. (1644 et 60-63)
[224] Var. Le ciel règle souvent les
effets par les causes. (1644 in-4o)
Var. Le ciel règle souvent les effets pour les causes. (1644
in-12)
[225] Var. A quels souhaits le ciel aura mieux répondu. (1644-56)
[226] Var. Ah! ce n'est pas ses soins que je veux qu'on me die. (1644-63)
[227] Voyez ci-dessus, vers 1146 et suivants.
[228] Var. Ce qui dans ses vaisseaux restoit des gens de guerre. (1644)
[229] Var. Du moins César l'eût fait, s'il l'avoit consenti. (1644-56)
[230] Var. Ni vos vœux ni nos soins n'ont
pu le secourir:
Malgré César et vous il a voulu périr. (1644-56)
[231] Var. Dont éclatent les morts des plus dignes monarques. (1644-56)
[232] Var. Et sa perte aux Romains a bien coûté du sang. (1644-56)
[233] Var. Pour réserver sa tête aux hontes d'un supplice. (1644-56)
[234] Var. Et son cœur indigné, que cette erreur abuse. (1644-56)
[235] Var. D'un tel nombre à la foule accablent ce vaisseau. (1644-56)
[236] L'auteur du livre de la Guerre d'Alexandrie (chapitre XXXI) raconte que Ptolémée s'enfuit du camp, et qu'il périt de la manière que dit ici Corneille.
[237] Var. Il vous proclame reine; et
quoique ses Romains
Au sang que vous pleurez n'aient point trempé leurs mains,
Il montre toutefois un déplaisir extrême. (1644-56)
[238] Var. Qui pourra mieux que moi vous dire la douleur. (1644-56)
[239] Var. Je n'y puis plus rien voir qu'un funeste rivage. (1644-56)
[240] Var. Qu'aux changements du Roi pousse un peuple inconstant. (1652-56)
[241] Var. Et de tous les objets celui
qui plus m'afflige,
J'y vois toujours en toi l'ennemi qui m'oblige. (1644-56)
[242] Var. Et ne recevra point d'honneurs
illégitimes:
Pour ces pieux devoirs je ne veux que demain. (1644-56)
[243] Juba, roi de Numidie.
[244] Var. Secondés des efforts d'un roi plus généreux. (1644-56)
[245] Var. Et que ce triste objet porte à leur souvenir. (1644-56)
[246] Var. L'une de la vertu, l'autre de mon devoir. (1644 in-12 et 48-56)
[247] Var. Et comme ta vertu, qu'en vain on veut trahir. (1644-56)
[248] Var. Tant de soins pour vous rendre entière obéissance. (1644-64)
[249] Var. Et n'ose remonter au trône sans regret. (1644-56)
[250] Voyez ci-dessus, p. 14.—Dans Médée, nous avons indiqué les sources latines au bas des pages; mais là Corneille imitait une tragédie et la suivait d'assez près; ici il choisit dans un poëme épique certains passages brillants pour orner sa tragédie, sans s'astreindre, bien entendu, à une marche analogue à celle de son modèle. Nous avons donc cru devoir placer les vers de Lucain en appendice, comme nous avons fait pour ceux de Guillem de Castro à la suite du Cid. Ce qui nous y a encore plus déterminé, c'est que, pour la Médée, les rapprochements avec le latin sont un simple travail d'éditeur qui peut sans inconvénient être confondu avec les notes, tandis que, pour le Cid et pour Pompée, Corneille ayant pris la peine d'indiquer lui-même les vers qu'il a imités, mieux valait, ce nous semble, ne pas mêler son œuvre avec la nôtre.—Il n'a donné ces rapprochements que dans les éditions de 1648, 1652 et 1655. Nous n'avons rien changé à son texte, qui ne diffère des meilleures éditions que par quatre ou cinq variantes de peu d'importance; nous nous sommes contenté d'y corriger un petit nombre de fautes typographiques. Nous avons aussi coupé, comme il l'a fait lui-même, en plusieurs fragments des citations qui, dans Lucain, se suivent et sont jointes; ainsi celles qui se rapportent aux vers 80, 82, 84:
[251] Voyez ci-dessus la Notice, p. 5.
[252] Histoire du Théâtre françois, tome V, p. 441-445.
[253] Par une disposition des plus bizarres, on lit ici avant le nom de Photin: «Scène sixième;» plus loin, avant le nom d'Achillas: «Scène septième;» avant le nom de Théodote: «Scène huitième;» et enfin avant le nom. de Ptolomée: «Scène neuvième. Ptolomée, Parthénie, Achillas, Photin, Théodote.» Mais comme ces discours séparés ne constituent pas des monologues et qu'ils sont, de toute nécessité, prononcés en présence du conseil assemblé; que, d'un autre côté, on lit immédiatement après les deux derniers vers dits par Ptolomée: «Parthénie entrant sur ces paroles,» ce qui prouve que c'est alors seulement qu'un nouveau personnage occupe le théâtre, il nous a para indispensable de continuer jusqu'en cet endroit la scène cinquième, qui n'a sans doute été divisée par l'imprimeur qu'à cause de son étendue.
[254] Une asile est la leçon de l'édition originale.
[255] La Vérité suspecte.
[256] Acte I, scène VI, vers 332.
[258] Édition de 1659, in-4o, p. 320.
[259] Acte IV, scène IV.
[260] Acte I, scène VI, vers 333-340.
[261] Neuvième fragment du Songe de Vaux.
[262] 3e édition, 1694, p. 94.
[263] Acte I, scène VI, vers 349 et 350.
[264] Acte III, scène VI, vers 1069 et 1070.
[265] Voyez tome II, p. 3 et 4.
[266] Dans les scènes VI et VII du Ier acte des Folies amoureuses de Regnard, des expressions militaires deviennent des métaphores galantes comme dans les passages cités plus haut, et à la scène VII de l'acte II des termes de musique servent de langage secret.
[267] Voyez ci-après, p. 204, note 447.
[268] Voyez la dernière variante de la Suite du Menteur, (page 388).
[269] Acte I, scène III, vers 295.
[270] Acte I, scène III, vers 275-284.
[271] Acte I, scène II, vers 215-218.
[272] Dans Jodelet ou le Maître valet[272-a], quand don Juan apprend qu'au lieu de son portrait, Isabelle a reçu celui de Jodelet, il s'écrie:
Dans Jodelet duelliste[272-b], Béatris lui dit en manière de compliment:
Gusman, parlant de D. Bertrand de Cigarral, son maître, rôle que remplissait Jodelet dans la pièce de Thomas Corneille qui porte ce titre[272-c], fait la réflexion suivante:
Enfin, dans l'Amour à la mode[272-d], du même auteur, où nous voyons Jodelet reparaître sous le nom de Cliton, Lisette lui met ainsi sous les yeux les défauts de sa personne:
De si belles qualités ne pouvaient manquer de figurer dans son épitaphe; aussi Loret n'eut-il garde de les oublier, et mit-il dans sa Gazette du 3 avril 1660, quelques jours après la mort du célèbre comédien:
On voit que, dans l'emploi que tenait Jodelet, son vice de prononciation était considéré comme un agrément. Tel est aussi l'avis d'un autre contemporain, qui se flatte de nous faire connaître la cause de ce défaut: «Jodelet parle du nez pour avoir été mal pansé.... (Tallemant nous dit de quel mal), et cela lui donne de la grâce[272-e].»
[272-a] Comédie en cinq actes, par Scarron, représentée en 1645, Acte I, scène I.
[272-b] Comédie en cinq actes, par Scarron, représentée d'abord, en 1646, sous le titre des Trois Dorothées. Acte II, scène II.
[272-c] Comédie en cinq actes, représentée en 1650. Acte I, scène II.
[272-d] Comédie en cinq actes, représentée en 1651. Acte IV, scène VII.—Nous connaissons encore trois pièces, outre celles dont nous venons de parler, où Jodelet figure sous son nom: Jodelet astrologue, comédie en cinq actes et en vers, par Douville, représentée en 1646; le Déniaisé, comédie en cinq actes et en vers, de Gillet et de Tessonnerie, représentée en 1647; enfin le Geôlier de soi-même, comédie en cinq actes et en vers, de Thomas Corneille, jouée en 1655. «Cette pièce, qui a toujours conservé ce titre dans les œuvres de son auteur, se représente cependant depuis très-longtemps, disent les frères Parfait (tome V, p. 120, note a), sous celui de Jodelet prince.»
[272-e] Historiettes, tome VII, p. 177.
[273] Cette date est précisée dans un article de la Gazette du 15 décembre 1634, trop curieux pour que nous ne le donnions pas en entier; il est intitulé: La jonction de six acteurs de la troupe de Mondori à celle de Belle-Roze. «N'en déplaise aux rabat-joie, l'étendue de mes récits n'étant pas limitée dans le détroit d'une gravité toujours sérieuse, comme l'une de leurs utilités est de servir au divertissement, ils ne doivent pas bannir les choses qui y servent; et par ainsi je ne dois pas taire le soin que Sa Majesté a voulu prendre de joindre à la troupe de Belleroze les six acteurs que vous avez en lettre italique, pour les distinguer des autres en leur liste que voici: Les hommes: Belleroze, Belleville, l'Espy, le Noir, Guillot-Gorju, S. Martin, Jodelet, la France ou Jaquemin Jadot, Alizon. Les femmes: la Belleroze, la Beaupré, la Vaillot, la Noir. Cette vieille troupe, renforcée de sa nouvelle recrue, fit, le 10 courant, trouver l'hôtel de Bourgoigne trop petit à l'affluence du peuple devant lequel elle représenta le Trompeur puni du sieur Scudéri; tandis que Mondori (ne désespérant point pour cela du salut de sa petite république) tâche à réparer son débris, et ne fait pas moins espérer que par le passé de son industrie.»—A la fin de cet article vient comme transition la phrase suivante: «Et sans sortir de ce sujet, vous serez avertis....» Puis la petite rectification, relative à Mélite, que nous avons donnée tome I, p. 132 et 133.—Suivant Tallemant (tome VII, p. 173), le Roi renforça ainsi la troupe de Bellerose, «peut-être pour faire dépit au cardinal de Richelieu, qui affectionnoit Mondory.»
[274] Les frères Parfait ne font nulle mention de ce retour de Jodelet au Marais; mais Tallemant, après avoir constaté ainsi le passage de ce comédien à l'hôtel de Bourgogne: «Baron et la Villiers avec son mari, et Jodelet même, allèrent à l'hôtel de Bourgogne» (tome VII, p. 174), ajoute dans la même Historiette: «Jodelet, pour un fariné naïf, est un bon acteur; il n'y a plus de farce qu'au Marais, où il est, et c'est à cause de lui qu'il y en a. Il dit une plaisante chose au Timocrate du jeune Corneille» (p. 176 et 177). Or, suivant les frères Parfait, le Timocrate, tragédie de Th. Corneille, a été représenté au Marais en 1656.
[275] Voyez la Notice de Cinna, tome III, p. 364.
[276] Mercure de France, mai 1740, p. 847 et 848.
[277] Pages 276-278.
[278] Historiettes, tome VII, p. 176.
[279] Voyez Lemazurier, Galerie historique, tome I, p. 129; les Œuvres de Corneille, édition de Lefèvre, tome V, p. 10, note 2.—Le Journal du Théâtre françois donne pour le Menteur une liste d'acteurs fort complète, mais des plus invraisemblables, et où il n'est nullement tenu compte des indications fournies par Corneille lui-même: «La troupe royale mit au théâtre.... une comédie nouvelle de Corneille intitulée le Menteur.... Les acteurs furent: la Grange, la Thuillerie, de Villiers, Hauteroche, Poisson; les actrices: les demoiselles Raisin, Angélique, Delagrange et Dennebaut.» (Folio 842 recto.)
[280] Scène VI.
[281] Remarquons que la supposition très-légitime faite par l'auteur dramatique est devenue, dans un feuilleton du Moniteur du 11 juin 1862, une anecdote littéraire bien établie: «Quelques années avant, y est-il dit, il avait fait les honneurs de sa ville à Molière, lorsque ce dernier vint y jouer la comédie du Menteur.
[282] Molière et sa troupe, par M. Soleirol, p. 67.
[283] Vers 8.
[284] Lettre à Mylord*** sur Baron..., p. 5.
[285] La Suite du Menteur, acte I, scène III, vers 291.
[286] Tome V, p. 370.
[287] Note sur le vers 295 de la Suite du Menteur (acte I, scène III).
[288] Préface du Menteur, édition de 1764.
[289] Tome I, p. 149.
[290] Cette épître ne se trouve que dans les éditions antérieures à 1660.
[291] Pouvoit est au singulier dans toutes les éditions publiées du vivant de Corneille.
[292] Tel est le texte de toutes les impressions (de 1644 à 1656).
[293] Var. (édit. de 1648-1656): sans m'assurer d'une guide.
[294] Voyez ci-dessus la Notice, p. 119, et plus bas l'Examen, p. 137.
[295] Var. (édit. de 1644 in-12 et de 1648-1656): de la sospechosa Verdad.