[1] Pierre-Emmanuel de Siorac ne précise que plus loin la date de sa naissance en disant incidemment qu’il avait douze ans en 1604 Il est donc né en 1592.
[2] Le secret de polichinelle (ital.).
[3] Mot à mot (lat.).
[4] Le tonneau.
[5] Jeux de mots (ital.).
[6] La Porte de Buci se dressait à l’emplacement actuel du carrefour de Buci.
[7] On appelle faucons niais les oisillons pris au nid par l’oiseleur pour les dresser.
[8] Sœur du Roi.
[9] Une colère aveugle ! (ital.).
[10] Toul un chacun est mené par le désir qui lui est propre (lat.).
[11] Première épouse d’Henri IV.
[12] La toise parisienne valait 1,949 m.
[13] À l’usage de la maîtresse (lat.).
[14] Pierre-Emmanuel de Siorac décrit au chapitre VI du présent ouvrage cette scène dans la chambre des commodités, que la Marquise de Rambouillet trouvait si choquante.
[15] C’est le comble ! (ital.).
[16] Que c’est une honte ! (ital.).
[17] Sous le règne d'Henri (lat.).
[18] Un cousin de la main gauche (ital.).
[19] La main gauche. Madame, vous servira tout aussi bien que la main droite (ital.).
[20] Bien trouvé ! (ital.).
[21] Me servir ! Ce ne sont que de belles paroles (ital.).
[22] En fait, il l’exila hors de France (Note de l’auteur).
[23] Femme acariâtre (ital.).
[24] Bien trouvée (ital.).
[25] Les mijaurées.
[26] Les saluts.
[27] Sœur d’Henri III, et première épouse d’Henri IV. Sa stérilité et ses frasques étaient si célèbres qu’Henri – qu’elle avait essayé d’empoisonner – n’eut aucun mal à obtenir le divorce pour pouvoir épouser Marie de Médicis.
[28] On appelait ainsi la rive gauche de Paris (Note de l’auteur).
[29] Coléreux.
[30] Monts et vaux (occitan).
[31] Le pauvre Sully était orfèvre en la matière : sa femme en tenait alors pour le jeune Schomberg (Note du Chevalier de Siorac).
[32] On appelait ainsi tous les gens qui avaient un travail manuel, qu'ils fussent patrons ou ouvriers.
[33] Traducteur.
[34] Distinguer les traces fraîches des traces anciennes (terme de vénerie).
[35] Comtesse, puis-je vous présenter votre élève ? (all.).
[36] Sa demi-sœur, fille d’Henri IV et de Gabrielle d’Estrées.
[37] Voilà !
[38] Le sexe faible (ital.).
[39] Le succube est un démon féminin.
[40] Ambroise Paré emploie le terme dans le sens de « grosseur » (Œuvres complètes, III, 4).
[41] Sa sœur cadette. Élisabeth.
[42] Faire l’amour.
[43] Je suis folle furieuse ! (ital.).
[44] Sire, c’est une honte ! La Chambre de Nantes n’a même pas répondu ! (ital.).
[45] Et pourtant, c’est la troisième lettre de jussion ! (ital.).
[46] C’est une honte ! Ces personnes sont méchantes ! Il faut les punir ! (ital.).
[47] C’est très simple ! Il faut les attacher à la branche d’un arbre ! (ital.).
[48] Et comment ? Et comment ? (ital.).
[49] La quatrième ! Et celle-là aussi restera sans effet ! (ital.).
[50] Son demi-frère.
[51] Les viandes désignent les mets. Le mot « chair », à l’époque, désigne plus précisément la viande.
[52] Coussin.
[53] « Drole » ne prend pas d’accent circonflexe en occitan et veut dire « garçon » sans connotation péjorative.
[54] Il s’appelait Ferdinand, peintre fort goûté à l’époque (Note de l’auteur).
[55] Fils d’Henri IV et de Gabrielle d’Estrées.
[56] Bellegarde.
[57] Marchandes de légumes.
[58] Par sa mère, Marie de Bourbon-Vendôme.
[59] Le chef de la maréchaussée.
[60] Mal bâti.
[61] Bon débarras ! (ital.).
[62] Comme un cadavre (lat.).
[63] Un naquet est employé à marquer les jeux à la paume sur un tableau noir.
[64] Comme la lune de Mars (occitan).
[65] Méfiance. Dieu te garde de qui a le poil rouge (occitan).
[66] Ruffiana : maquerelle (ital.).
[67] Le fameux filleul ! (ital.).
[68] Environ treize mètres.
[70] La vie a-t-elle quitté son corps ? (lat.).
[71] L’Édit de Nantes.
[72] Ils l’ont assassiné ! (ital.).