À
Faustine, ma femme.
Écrire une histoire aussi sombre, c’est
naviguer sous un ciel noir, sonder des zones d’inconfort. Pour
mieux comprendre. L’homme et sa civilisation. Ce qu’il y a de pire
en nous. Pour mieux aimer tout le reste.
Pendant cette exploration, elle a été l’étoile
qui brillait au-dessus de ma tête. Elle m’a indiqué comment rentrer
à bon port chaque jour, sain et sauf, et ne pas me perdre en
route.
À mon étoile qui me guide dans les
abysses.