{1} Torii : portiques dont les deux colonnes portent deux traverses horizontales et qui sont placées à l’entrée des temples shintô.
{2} L’abaque est le boulier d’un usage courant général au Japon pour compter.
{3} La danse du lion est un divertissement aimé des enfants et des badauds. Un animal fantastique dont les quatre pattes sont les jambes de deux hommes abrités sous une couverture et dont la tête est un masque féroce se livre à des pitreries aux sons d’un tambour et d’une flûte.
La Fête des Morts a une origine religieuse. Elle débute le 13 juillet et dure plusieurs jours. Elle commence par des offrandes aux défunts qui sont placées sur de petites barques portant des lumières (d’où le nom de Fête des Lanternes donné aussi à cette fête). Mais dès le deuxième jour l’atmosphère devient gaie et l’on exécute des danses.
{4} La similitude des sons de deux mots japonais traduits ici par « inquiète » et « vagabonde » donne lieu à cette discussion qui perd presque tout intérêt à la traduction. Les vers de Verlaine cités se trouvent dans Sagesse.
{5} Hagi : riz broyé recouvert de haricots sucrés.
{6} L’oreiller en question à la forme d’un petit cylindre allongé.
{7} Ainsi appelée parce qu’une société y cultive des huîtres perlières.
{8} Mot du patois local dont l’explication est donnée plus loin.
{9} Kôshin : déification d'une étoile correspondant au 57e terme du cycle sexagésimal ; elle favorise ou contrarie les actions des humains selon sa position. (Origine continentale.)
{10} Il s’agit d’une pièce d’étoffe grossière dont on empaquette tous objets.
{11} Miso : Sauce faite avec du blé ou du riz, des haricots et du sel. Élément important de la cuisine japonaise.
{12} Tokonoma : alcôve peu élevée où l’on place des objets de valeur, des fleurs. En s’asseyant le dos à cet endroit, Terukichi montrait le peu de cas qu’il faisait de ses hôtes.
{13} C’est-à-dire fin du XIXe siècle et début du XXe siècle