Ce pichet a une belle mine.

Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne.

Le coche finit toujours par arriver au but.

Les Italiennes choisissent des quines à la Loterie des Pouilles.

Cette fois, j’ai senti le bout de ses galoches.

La femme du contribuable demande qu’on modifie sa cote.

Je crois que votre rata prend du ton.

L’épicière ajoute un quart à son dû.

Pouvez-vous faire mander les basochiens ?

Ne trouvez-vous pas, Mademoiselle, que les Beaux Zarts sont un plaisir des Dieux ?

Les canotières appréciaient la raideur des berges de visu.

EXAMEN DE PHYSIQUE. – Mademoiselle, quel est le poids qui équivaut à une dyne ?

L’antiquaire emporte dans ses caisses le produit de mes fouilles.

Les quilles sont rangées en cercle autour d’un vieux fût.

Le vieux passeur a la mine fatiguée.

Il m’a promis son tennis.

La femme du chef d’orchestre a fait mander le basson.

La berge précède le vide.

Mademoiselle, laissez-moi vérifier la cote du mont.

Le troupier frotte son quart à ses douilles.

La cantinière porte une grosse d’œufs au camp.

Les caissières trouvent que leurs caisses manquent de feu.

Le bout pendait.

L’armurier se plaint que ma sœur lui couche les douilles.

La comtesse apercevait de superbes sites autour de son balcon.

Nous aurons du cran jusqu’au bout.

Ma femme se plaint qu’il n’y ait pas assez de sites dans la Beauce.

Quelle bonne mine a Patrice une bonne mine de Paris (*).

L’épicurien se plaît à rechercher les sources du bonheur.

Des pêcheurs en quête de thon.

Les enfants vont près du feu pour faire briller leurs galoches.

Goûtez-moi cette farce.

Un jeune homme a une mine de plomb.

Cette lutte est vraiment passive.

Les femmes n’ont pas l’habitude de mettre leur quart au trou du fût.

La pauvre femme est folle de la messe.

À la campagne, je perçois dans ma couche les mouvements des bœufs.

L’ingénieur avait fait poser une valise sur ma berge.

Quelle sale guigne ! Je me suis écorché le flanc !

Cette femme a l’allure douteuse.

Il retira sa cape pour bouffer les nouilles.

J’ai touché l’autre jour un petit bon carré.

La fermière sait que sa poule mue, aussi vit-elle au champ (*).

La cuisinière fait des nouilles auprès de mon feu.

Le mercanti vendait, assis sur une berge.

La petite espiègle me cacha les mouillettes.

Les bons italiens sont en caisse.

Par ce temps orageux, toutes les mites sont au bout.

Le laboureur regarde fouler son coutre par le pou de latrine (*).

Le coureur a gagné, en se couchant, le but.

Le mitron coffre le son de la boulangère.

Le Périgord est réputé par sa cuisine et surtout par son admirable beauté de sites.

Le joueur adroit sait enfoncer la quille au but.

Une fille honnête ne permet à personne de fouiller dans sa mante.

Ne critiquons pas les solutions de la peur.

Il n’y a que la femme du meunier qui soit capable de bâter une mite.

Le jardinier bine avec sa pelle.

Encouragé par sa femme le bûcheron fendait dix bois par jour.

Je ne suis pas pressé pour dîner.

La jolie passagère glissa sur un pan coupé et se cassa la main sur le pont (*).

Les trafiquants ont passé des peaux de lutin à Buenos-Aires.

Si le mineur va chez la patronne, c’est que sa boniche l’a fait mander (*).

Le mineur au pâle visage tire sa houille de bon cœur (*).

La Redoute des contrepéteries
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