[1] C.-L., DUMAS, Éloge de Henri Fouquet (Montpellier, 1807), citado por A. GIRBAL, Essai sur l’esprit de la clinique médicale de Montpellier (Montpellier, 1858), p. 18. <<

[2] M.-A. PETIT, Discours sur la manière d’exercer la bienfaisance dans les hôpitaux (3 nov. 1797), Essai sur la médecine du coeur, p. 103. <<

[3] Cf. ZIMMERMANN, Traité de l’expérience (trad. fr., París, 1774), t. I, pp. 197-8. <<

[4] J.-L.-V. BROUSSONNET, Tableau élémentaire de la séméiotique (Montpellier, año VI), p. 60. <<

[5] AUDIBERT-CAILLE, Mémoire sur l’utilité de l’analogie en médecine (Montpellier, 1814). p. 42. <<

[6] J.-L.-V. BROUSSONNET, loc. cit., p. 59. <<

[7] CONDILLAC, «Essai sur l’origine des connaissances humaines» (Oeuvres complètes, año VI), t. I, p. 262. <<

[8] CONDILLAC, ibid., p. 260. <<

[9] CONDILLAC, ibid., pp. 262-263 <<

[10] A.-J. LANDRÉ-BEAUVAIS, Séméiotique (París, 1813), p. 4. <<

[11] Ibid. <<

[12] FAVART, Essai sur l’entendement médical (París, 1822), pp. 8-9. <<

[13] J. LANDRÉ-BEAUVAIS, loc. cit., p. 5. <<

[14] Ibid., p. 6. <<

[15] CONDILLAC, Essai sur l’origine des connaissances humaines, p. 109. <<

[16] CONDILLAC, Ibid. <<

[17] DEMORCY-DELETTRE, Essai su r l’analyse· appliquée au perfectionnement de la médecine (París, 1810), p. 102. <<

[18] PH. PINEL, La médecine clinique (3a. ed., París, 1815), Introd., p. VII. <<

[19] CONDILLAC, citado por PH. PINEL, Nosographie philosophique (París, año VI), introd., p. XI. <<

[20] C.-L. DUMAS, Discours sur les progrès futurs de la science de l’homme (Montpellier, año XII), pp. 27-28. <<

[21] CABANIS, Du degré de certitude de la médecine (3a. ed., París, 1819), p. 125. <<

[22] CABANIS, ibid., pp. 86-87. <<

[23] Ibid., pp. 76-77. <<

[24] AUDIBERT-CAILLE, Mémoire sur l’utilité de l’analogie en médecine (Montpellier, 1814), p. 13. <<

[25] Ibid., p. 30. <<

[26] C.-A. BRULLEY, De l’art de conjecturer en médecine (París, 1801), pp. 85-87. <<

[27] PH. PINEL, Médecine clinique, p. 78. <<

[28] AUDIBERT-CAILLE, loc. cit., p. 31. <<

[29] C.-L. DUMAS, Discours sur les progrès futurs de la science de l’homme (Montpellier, año XII), p. 28. <<

[30] F.-J. DOUBLE, Séméiologie générale (París, 1811), t. I, p. 33. <<

[31] ZIMMERMANN, Traité de l’experience, t. I, p. 146. <<

[32] F.-J. DOUBLE, Séméiologie générale, t. I, p. 33. <<

[33] Brulley, por ejemplo, conocía bien los textos de Bernoulli, de Condorcet, S’Gravesandy, Essai sur l’art de conjecturer en médecine (París, año X), pp. 33-57. <<

[34] C.-L. DUMAS, loc. cit., p. 29. <<

[35] C.-A. BRULLEY, loc. cit., pp. 26-27. <<

[36] Ibid., pp. 27-30. <<

[37] Ibid., pp. 31-32. <<

[38] ROUCHER-DERATTE, Leçons sur l’art d’observer (París, 1807), p. 53. <<

[39] Ibid., p. 53. <<

[40] SELLE, Introduction à l’étude de la nature (trad. fr., París, año III), p. 229. <<

[41] C.-L. DUMAS, loc cit., p. 21. <<