Repères bibliographiques
Les Yeux d’Elsa ont paru dans Les Cahiers du Rhône, n° 2 (avril 1942).
Les Nuits dans Poésie 41, n° 4 (mai-juin) 1941.
Fêtes galantes dans La Revue de Belles-Lettres, 78e année, 5e cahier (Lausanne, mars 1942).
Les Folies-Giboulées dans Profil poétique de la France, n° 6 (juillet 1941).
C et L’Escale dans Suisse contemporaine, Vesérie, n° 8 (septembre 1941).
Les Plaintes dans Profil littéraire de la France, n° 9 (avril 1942).
La Plainte pour le Grand Descort de France dans Pages (Lausanne, 1942, n° 1).
La Plainte pour le quatrième centenaire d’un amour dans Les Cahiers du Rhône, n° 1 (mars 1942).
Chanson de récréance et Pour un chant national dans Poésie 42, n° 1 (décembre 1941-janvier 1942).
Contre la poésie pure dans L’Arbalète, nos 5-6 (hiver 1941-printemps 1942).
Plus belle que les larmes dans Tunis-Soir du samedi 10 janvier 1942 et dans Curieux du vendredi 13 février 1942.
Imité de Camoens et Lancelot dans Les Cahiers du Rhône, n° 2 (avril 1942).
Cantique à Elsa dans Fontaine, n° 18 (février 1942), et en plaquette aux éditions de la revue Fontaine.
(Ces poèmes, publiés dans l’ordre suivant lequel ils ont été écrits, se situent de décembre 1940 à février 1942 ; il importe assez peu de savoir à quel point de la zone non occupée ils ont vu le jour, on dira pourtant que c’est à Carcassonne, à Nice et à Villeneuve-lès-Avignon, puis à nouveau à Nice. Ils reflètent assez les malheurs de ce temps pour être mieux datés par là que par l’exactitude d’une référence de mois ou de lieu.)