J’ai commencé ce livre après avoir suggéré aux éditeurs de Payot & Rivages que, pour la première fois, j’écrirais un livre directement en français. Benoîte Mourot, la directrice, et Lidia Breda, mon éditrice, m’ont fait suffisamment confiance pour accepter. Ayant l’habitude de faire de courts articles de journalisme de cette façon, je m’en sentais capable. Je me trompais. Pour cette raison, je remercie chaleureusement Catherine Texier et Vincent Eggericx, deux amis et collègues littéraires français, car sans leurs corrections de mon « patois français » ce livre n’aurait pas été très lisible. Et je suis aussi très reconnaissant à Maryse Djian et Benjamin Guérif, qui ont exterminé les derniers « américanismes » ou passages flous de mon texte.
Je remercie enfin mon ami François Guérif pour ses suggestions.