Remerciements
Tout a commencé par un pari. Je ne me croyais pas capable d’écrire un roman, mais mon mari, lui, était persuadé du contraire. Un jour il m’a mise au défi d’essayer. Moi, au défi ! Il m’a dit que si je n’essayais pas, je ne serais qu’une poule mouillée. Je ne recule jamais devant un pari raisonnable et il le savait parfaitement.
Merci, chéri, de m’avoir lancé ce défi.
Si tout a commencé par un pari, le reste de l’aventure n’a été qu’heureux hasards, gentilles attentions et soutiens généreux. Et si on ne peut que remercier les dieux pour les hasards heureux, la gentillesse et la générosité méritent d’être reconnues.
Sans l’enthousiasme et l’énergie de Madeleine Buston et de toute l’équipe de la fantastique agence Darley Anderson (en particulier Clare Wallace et Mary Darby), ce livre n’aurait jamais atterri dans les rayons des librairies. Maddy, ton coup de fil m’a changé la vie. Je ne te remercierai jamais assez.
À la fabuleuse Samantha Smith, extraordinaire éditrice d’Atom Books, un million de mercis. Non contente d’être une éditrice géniale, elle est très drôle. Travailler avec elle est un rêve devenu réalité. Honnêtement, toute l’équipe d’Atom/Little Brown est incroyable : Gina Luck, Kate Agar et Darren Turpin, vous avez permis à Night School de voir le jour. Merci infiniment à tous ! Je vous dois une tonne de cupcakes…
Ce livre a pris forme grâce à l’aide d’amis qui l’ont lu à mesure que je l’écrivais, et qui m’ont dit la vérité. Leur honnêteté et leur intelligence ont largement contribué à l’améliorer. Helene Rudyck, Kate Bell et Sally Davies, vous êtes des déesses.
À l’équipe du Starbucks de Memorial Drive à Dairy Ashford (Houston, Texas), merci de m’avoir permis de rester assise à écrire sous votre clim glaciale pendant des heures non stop – parfois jusqu’à ce que vous commenciez à empiler les chaises autour de moi et à balayer sous mes pieds –, sans même me demander de consommer un autre café ou de déguerpir. En fait, merci de m’avoir ignorée. Night School a été nourri par vos mokas frappés.
Ma mère a disparu pendant la rédaction de ce livre et elle n’a jamais eu l’occasion de découvrir ce qu’il est devenu, de constater que ce n’était pas seulement un autre de mes rêves fous. On dit parfois que les gens veillent sur nous après leur mort, alors… Regarde, maman ! Je l’ai fait !