En ma qualité de faiseur suprême de ce roman, je tiens à souligner que toute ressemblance entre les lieux, les personnages et les situations y apparaissant et des lieux, des personnages et des situations existants serait pure coïncidence due au hasard, ou fruit d’une lecture fautive dont l’auteur ne peut être tenu pour responsable, ou si peu. Et je profiterai de l’occasion pour rendre hommage à tous les établissements thermaux et les centres de cure qui œuvrent tant pour aider une immense minorité du genre humain à vieillir avec dignité.
Enfin, je dédie ce roman à Josep Padullés, la personne qui, après Josep Solé Barberà et Rafaël Borràs, l’un et l’autre pour des raisons différentes, attend avec le plus d’impatience chaque roman de Carvalho.