{1} En Ukraine, le métier de maquignon était surtout exercé par des Tziganes, spécialisés dans la vente et… le vol des chevaux. (Note des traducteurs.)

{2} Le Russe, originaire de Grande-Russie, était souvent assez mal vu en Ukraine, surtout dans le menu peuple qui l’appelait « katzap » ou « Moskal » (moscovite), comme les Polonais, sans qu’il y eût en l’espèce aucune velléité autonomiste ou séparatiste. (Note des traducteurs.)

{3} Tzyboulka, signifie : l’oignon. (Note des traducteurs.)

{4} Chez nous, on pratique l’épreuve de l’étain pour un sujet en proie à quelque terreur dont on cherche à pénétrer la cause initiale. À ces fins, on jette des gouttes d’étain fondu (ou de cire) dans de l’eau où elles reproduisent la forme de l’être ou de l’objet responsable de la frayeur du malade, et du coup celui-ci se remet de sa peur. Pour guérir quelqu’un du vertige ou des maux de ventre, on met le feu à un morceau d’étoupe disposé dans un verre que l’on renverse ensuite sur une écuelle remplie d’eau et placée sur l’abdomen du patient, à qui l’on fait boire de ce liquide, après certaines incantations à voix basse. (Note de Gogol.)

{5} La mode était alors chez les Cosaques de se raser le crâne, à peu près à la façon des mahométans, à l’exception d’une mèche que les élégants conservaient d’une telle longueur qu’elle faisait plusieurs fois le tour d’une de leurs oreilles. (Voir au conte précédent ce que dit Korj à Pétro, au sujet de son toupet.) (Note des traducteurs.)

{6} Danse russe très rapide, d’origine cosaque. (Note du correcteur – ELG.)