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[1] Sur le site de Deir el-Ballas.
[2] Tjarou-Silé, dans le Delta, sur l’isthme formé entre le lac de Ballah et le lac Menzala.
[3] Ces perturbations du cosmos sont évoquées sur une stèle en calcaire haute de 1,80 mètre et large de 1,10 mètre qui fut exposée dans le temple de Karnak.
[4] La Grande Ourse, lieu de puissance de Seth.
[5] Description d’après Le Voyage en Égypte d’Edward Brown, Le Caire, 1974.
[6] Son nom de règne sera Ahmès-Néfertari. La première Grande Épouse royale de Ramsès II reprendra le nom de Néfertari.
[7] Environ 500 kilomètres.
[8] 3814 iterou = 39894,48 kilomètres. Cette indication, fournie par les tombes de la Vallée des Rois, était probablement connue auparavant. Voir J. Zeidler, « Die Länge der Unterwelt nach ägyptischer Vorstellung », Göttinger Miszellen, 156, 1997, pp. 101-112.
[9] Les chevaux égyptiens n’étaient pas ferrés, et les cavaliers n’utilisaient ni selle ni étriers.
[10] Les indications techniques sur la fabrication des chariots égyptiens ont été exposés par J. Spruytte, in Kyphi, 2, pp. 77 sq.
[11] En égyptien set Maât, dont le nom moderne est Deir el-Médineh. Nous avons évoqué cette exceptionnelle confrérie dans les quatre volumes de La Pierre de Lumière.
[12] Ce pectoral a été retrouvé dans la demeure d’éternité d’Ahotep, à Drah Aboul Naggah (Thèbes-ouest).
[13] 8,32 mètres.
[14] L’année nouvelle débutait avec la crue, approximativement début juillet.
[15] Le siat, mot formé sur la racine sia, « connaître intuitivement, être sage ».
[16] Cette technique fut pratiquée dès l’Ancien Empire.
[17] Également connu sous le nom de Santorin.
[18] Selon les expressions égyptiennes, il est possible de « dire, faire, produire Maât ».
[19] Ipet-sout, le temple de Louxor.