[1] [Note - L'arçon est un signe de reconnaissance qui correspond à ce qu’on appelle la grippe en langage maçonnique ; il se fait en se coupant verticalement la figure avec le pouce que l'on descend par le coté du nez vers les lèvres. Ce simulacre est accompagné d'un crachement.]
[2] [Note - Probablement du vin de Suresne. (Note du correcteur – ELG.)]
[3] [Note - On appelle arlequin de petits tas de viandes mélangées, que l'on vend à la halle pour les chats, pour les chiens et pour les pauvres. Ce sont des débris recueillis sur les assiettes chez les restaurateurs et chez les riches.]
[4] [Note - Corps, régiment de cosaques. (Note du correcteur – ELG.)]
[5] [Note - À Paris, quand on casse une vitre. les gens du peuple crient : quarante cinq, de manière à produire une sorte d’harmonie imitative de l’accident. C’est à leur gré une excellente plaisanterie, parce que quarante-cinq s'écrit avec deux chiffres dont la somme fait neuf. On casse une vitre, il faut la remplacer ; c'est du neuf. Le calembour est ingénieux.]
[6] [Note - Histoire des Bohémiens, ou Tableau des mœurs, usages et coutumes de ce peuple nomade, suivie de recherches historiques sur leur origine, leur langage et leur première apparition en Europe ; par H. M. G. Grellmann ; trad. de l'allemand sur la 2e édition… in-8e Paris, Chaumerot, libraire, au Palais-Royal.]