[1] Voir à la Dissertation
religieuse.
[2] Voir à la Dissertation
religieuse.
[3] Ce paragraphe et le fragment
que nous renvoyons à la Dissertation ont été supprimés dans une
édition contemporaine où l’on se borne au rôle de traducteur
fidèle
[4] La pièce de huit ou de huit
testons, dont il a souvent été parlé dans le cours de cet ouvrage,
est une pièce d’or portugaise valant environ 5 Fr. 66 cent.
[5] Le moidores que les
Français nomment noror et les Portugais
nordadouro, est aussi une pièce d’or qui vaut environ 33
Fr. 96 cent. P. B.
[6] Dans l’édition où l’on se borne
au rôle de traducteur fidèle, les cinq paragraphes, à partir
de : J’eus alors la pensée…, jusqu’à : ma
fidèle amie la veuve…, ont été supprimés. P. B.
[7] Dans l’édition où l’on se borne
au rôle de traducteur fidèle, les cinq paragraphes précédents ont
été supprimés. P. B.
[8] What is bred in the bone will
not go out of the flesh.
[9] Free from vices, free from
care,
Age has me pains, and youth ne snare.
Age has me pains, and youth ne snare.
[10] Un liard, un quart de denier
sterling.
[11] Petit navire à un mât.
(Note du correcteur – ELG.)
[12] Gros canon court. (Note
du correcteur – ELG.)
[13] Hôpital des fous.
[14] Voir à la Dissertation
religieuse.
[15] Voir à la Dissertation
religieuse.
[16] Voir à la Dissertation
religieuse.
[17] Straggling. La
traduction contemporaine (indigne du beau nom de MADAME TASTU) dont
il est parlé dans notre préface et dans les quelques notes
précédentes, porte TRAÎNARDS. Toutes les pages de cette traduction
sont émaillées de pareils BARBARISMES : il est déplorable
qu’un livre destiné à l’éducation de la jeunesse soit une école de
jargon. P. B.
[18] Dans la susdite traduction
contemporaine, indigne du beau nom de MADAME TASTU, où, soi-disant,
on se borne au rôle de TRADUCTEUR FIDÈLE, ce paragraphe et le
suivant sont complètement passés. P. B.
[19] Ici, dans la traduction
contemporaine, indigne du beau nom de MADAME TASTU, est intercalé
un long rabâchage sur la sincérité de cet ecclésiastique et sur le
faux zèle et la rapacité des missionnaires, où il est dit que le
Chinois Confucius fait partie du calendrier de nos Saints. Je ne
sais si ce morceau peu regrettable est de Daniel de Foë : je
ne l’ai point trouvé dans l’édition originale de Stockdale, ni dans
l’édition donnée par John Walker en 1848 P. B.
[20] Ici, dans la traduction
contemporaine, indigne du beau nom de MADAME TASTU, se trouve entre
mille autres, cette phrase barbare : Lorsqu’un des
matelots vint à moi, et me dit qu’il voulait M’ÉVITER LA
PEINE…
Pardon, on N’ÉVITE pas une peine à quelqu’un. On épargne une peine, c’est un mauvais lieu et une mauvaise traduction qu’on évite. Je l’ai déjà dit, il serait bien dans un livre destiné à l’éducation de la jeunesse d’éviter de pareilles incongruités. P. B.
Pardon, on N’ÉVITE pas une peine à quelqu’un. On épargne une peine, c’est un mauvais lieu et une mauvaise traduction qu’on évite. Je l’ai déjà dit, il serait bien dans un livre destiné à l’éducation de la jeunesse d’éviter de pareilles incongruités. P. B.
[21] But I am sure we came
honestly and fairly by the ship. – Ici, dans la traduction
contemporaine, toujours indigne du beau nom de MADAME TASTU, on a
confondu le verbe TO COME, venir, et TO COME BY, qui a le sens
d’acquérir et l’on a fait ce joli non-sens et contresens : ET
QUE JE SOIS SÛR D’ÊTRE VENU TRÈS-PAISIBLEMENT ET TRÈS-HONNÊTEMENT
SUR CE NAVIRE. – Nous citons ceci entre mille comme mémento
seulement. P. B.
[22] Dans la traduction
contemporaine, indigne du beau nom de MADAME TASTU, où, soi-disant,
on se borne au rôle de TRADUCTEUR FIDÈLE, toute la fin de ce
paragraphe est supprimée et remplacée par ce non-sens : C’EÛT
ÉTÉ NOTRE PESTE, SANS AUCUN ESPOIR DE SALUT. P. B.
[23] On a passé sous silence tout
le commencement de ce paragraphe et la moitié du précédent, dans la
traduction contemporaine, indigne du beau nom de MADAME TASTU, où,
soi-disant, on s’est borné rôle de TRADUCTEUR FIDÈLE. P.B.
[24] On a passé sous silence
toute la fin de ce paragraphe dans la traduction, indigne du beau
nom de MADAME TASTU, où, soi-disant, on s’est borné au rôle de
TRADUCTEUR FIDÈLE. P. B.
[25] Paucité :
Petite quantité, petit nombre. (Note du correcteur ELG)
[26] On a supprimé toute la fin
de ce paragraphe, ainsi que la fin de trois ou quatre paragraphes
précédents et suivants, dans la traduction contemporaine, indigne
du beau nom de MADAME TASTU, où, soi-disant, on s’est borné au rôle
de TRADUCTEUR FIDÈLE. P. B.
[27] On a passé sous silence la
fin de ce paragraphe et le commencement du suivant dans la
traduction contemporaine, indigne du beau nom de MADAME TASTU. –
Désormais nous nous abstiendrons, de relever les mutilations que,
dans la nouvelle traduction, on a fait subir à toute la dernière
partie de ROBINSON : il faudrait une note à chaque phrase. (P.
B.)
[28] Nous avions promis de ne
plus faire de notes ; cependant, il ne nous est guère possible
de ne pas dire qu’ici, dans la traduction contemporaine, indigne du
beau nom de MADAME TASTU, on a passé sous silence CINQ pages et
DEMIE du texte original, à partir de Vers le soir… jusqu’à
Le matin… : c’est vraiment commode. P. B.