{1} Odette Bled était d’origine agenaise.

{2} Se référer à « Annexes et documents ».

{3} La Nouvelle République du Centre-Ouest, 27/08/98.

{4} Je suis un « vouvoyeur », le voussoiement me sied… Cela pourrait être le refrain d’une chanson rap !

{5} Historia, décembre 1959.

{6} Raccourci d’un amour malheureux en subjonctif galvanisé. L’auteur de la lettre avait dessiné une vis.

{7} Henri Bonnet, Les amours et la sexualité de Marcel Proust, Éditions Nizet, 1985.

{8} Littré : D’après l’Académie, ce verbe est usité seulement à l’infinitif : braire ; aux troisièmes personnes du présent de l’indicatif : il brait, ils braient ; du futur : il braira, ils brairont ; et du conditionnel : il brairait, ils brairaient. Cela est trop sévère. D’abord un fabuliste, faisant parler des ânes, pourrait employer sans hésiter les autres personnes : je brais, tu brais, nous brayons, vous brayez ; de même au futur et au conditionnel. Puis rien n’empêche de se servir de l’imparfait : il brayait ; et des temps composés : il a brait, il avait brait, etc.

{9} La Setmana, 01/08/96.

{10} J’ai entendu une chanson rap qui parle de l’imparfait du contemplatif !

{11} Édité dans Rêveries jaunes, chez l’auteur, 56550 Belz.

{12} Note de l’auteur : nous savons désormais que ce poème n’est pas d’Alphonse Allais.

{13} Pensées d’un biologiste, Jean Rostand, Éditions Stock, 1939.

{14} Élan (fig.) : Mouvement affectif provoqué par un sentiment passionné.

{15} Strophe III du poème n° XXXIV

{16} Éditions Jas, 1998.

{17} Extrait de la revue Courrier des marches de France et d’Outre-mer, n° 157, printemps 1989.

{18} Rameaux et brindilles – Feuilles buissonnières.

{19} Mimi Poët a été la secrétaire du Corupsis en 1996.

{20} Des mots et merveilles, Claude Gagnère, Éditions Robert Laffont, 1989.

{21} Claude Gagnère, Au bonheur des mots, Éditions Robert Laffont, 1989.

{22} Entrevue, hors-série n° 2, été 1996.

{23} Juilly, Seine-et-Marne.

{24} Faites l’expérience, je n’invente rien.

{25} Paris au XIXe siècle, Éditions du Cherche Midi, 1994.

{26} Note de l’auteur : du verbe croître.

{27} Note de l’auteur : du verbe croire.

{28} La Voix du Nord, 05/11/1996.

{29} Xavier Darcos

{30} Ce type d’association existe en Écosse ou en Irlande !

{31} Éditions Gallimard, 1968.

{32} Communautariser : transférer de la compétence nationale à la compétence de chacune des communautés.

{33} Décauser : dénigrer.

{34} Poigner : saisir à pleines mains, s’attaquer à une (rude) tâche.

{35} Se ramasser : se hâter.

{36} Ces verbes sont des belgicismes (théoriquement réguliers ?) issus de Belgicismes. Inventaire des particularités lexicales du français en Belgique, collectif, Éditions Duculot, 1995.

{37} Rédacteur de la revue belge Bulletin Social.

{38} Revue de défense et d’illustration du français, luttant vigoureusement pour la sauvegarde des nénuphars et des oignons. Pour tout contact : Le Nénuphar, La Marjolaine, 14 av. Audiffret, 06100 Nice.

{39} Note de l’auteur : Le correspondant veut dire « précieux », j’ai failli le corriger, mais je trouvais cela tellement « délicieuse » !

Mike Stewart, un adhérent anglais résidant à Monpazier depuis quatre lustres m’a dit :

« Nous, en Grande-Bretagne, nous ne sommes pas sexistes ! »

{40} Subjonctif vient – dit-on – de subjectivus (qui sert à lier), lui-même issu de Subjugere (lier ensemble, mettre sous le même joug) D. Bévéraggi.

{41} C. P. avait reçu une circulaire administrative lui conseillant d’installer des plantations dans la cour de récréation !

{42} Se référer à la préface.

{43} Se référer au chapitre « Singulier subjonctif »

{44} Les articles annonciateurs de l’émission, souvent élogieux à notre égard, parus dans la presse écrite et parlée, ont également contribué à cette campagne médiatique. Merci à tous ces journalistes !

{45} La Dépêche, Dordogne, 13/06/96.

{46} Littré : Des grammairiens se sont plaints qu’on laissât sans raison tomber en désuétude plusieurs formes du verbe clore. Pourquoi, en effet, ne dirions-nous pas : nous closons, vous closez ; l’imparfait : je closais ; le prétérit défini : je closis ; l’imparfait du subjonctif : je closisse ? Ces formes n’ont rien de rude ni d’étrange et il serait bon que l’usage ne les abandonnât pas.

{47} Se référer à Annexes et documents.

{48} Mais pas tant que ça…

{49} Car espèce est un nom féminin.

{50} Se référer à Annexes et documents.

{51} Se référer à « Annexes et documents ».

{52} Note de l’auteur : Malheureusement, ils ont eu honte ! La première édition, malgré 3 niveaux de corrections, a comporté de nombreuses coquilles suite à une erreur de transmission de support numérique entre la P. A. O. et l’imprimeur. Lors du lancement de l’ouvrage, des ouvrages « buggés » ont été envoyés aux divers services de presse et ce problème a considérablement nui à la promotion du livre. Vous imaginez la déception des personnes ayant participé à cette parution (notamment Jean Dutourd qui avait préfacé le livre…). Dans un bar, fût-il du subjonctif, on a parfois tendance à abuser de boissons alcoolisées !

{53} Véhiculaire : se dit d’une langue servant à la communication entre des communautés ayant des langues maternelles différentes. Opposé à vernaculaire, langue propre à un pays, à une région.

{54} L’inventeur de l’espéranto.