Bibliographie

[1] Œil à corpuscule.

[2] Et la lumière fut ! (extrait de la Genèse).

[3] Tout ce qui est inconnu nous semble magnifique. (Tacite.)

[4] La médecine est l’art de la conjecture. (Aulus Cornelius Celsus, médecin de l’Antiquité qui était surnommé l’Hippocrate latin.)

[5] Pour tous ceux qui vivent il y a de l’espérance, et même un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort. (Livre de l’Ecclésiaste.)

[6] Prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin. (Épître aux Éphésiens.)

[7] Dieu soit loué à jamais.

[8] De l’immortalité de l’âme, œuvre de saint Augustin.

[9] Qu’il repose en paix.

[10] Il vaut mieux être victime d’une injustice qu’en être responsable. (Cicéron.)

[11] Nul n’est sans faute. (Sénèque l’Ancien.)

[12] La vérité vous libèrera.

[13] Écoute, observe et tais-toi, si tu veux vivre.

[14] La nécessité n’a pas de loi, mais elle se fait loi elle-même.

[15] Vanité des vanités, et tout est vanité. (Livre de l’Ecclésiaste.)

[16] Fou.

[17] Poissard.

[18] Courtière en mariages, chargée de former le bon couple, le bon arrangement ou chidoukh.

[19] Homme.

[20] Rabbin.

[21] Les hommes croient ce qu’ils veulent croire. (César.)

[22] Du faux découle ce que l’on veut.

[23] Connais-toi toi-même.

[24] Commencer, c’est avoir à moitié fini. (Horace.)

[25] La vie n’a jamais rien accordé aux mortels sans beaucoup d’efforts. (Horace.)

[26] En grec, ruse de l’intelligence qui fit d’Ulysse un héros.

[27] Je ne sais qu’une chose, c’est que je ne sais rien (maxime attribuée à Socrate).

[28] Saint-Pol-sur-Mer.

[29] Boulogne-sur-Mer.

[30] Si le lecteur instruit recherche la vérité dans nos ouvrages, qu’il aborde ce livre sans hésitation ni scrupule, il est assuré de l’y trouver, car le témoignage de bien des gens encore vivants atteste que ce qui y est écrit est vrai.

[31] À la dernière heure d’une nuit claire, la vérité vient à l’homme qui se penche sur le tombeau de Priscillien.

[32] L’ordre de Santiago, ou de Saint-Jacques-de-l’Épée, était un ordre militaire et religieux catholique créé en 1160 en Galice.

[33] Ancienne région d’Afrique du Nord située entre la Libye et l’Égypte.

[34] Livre des lois médicales.

[35] Hannibal est à la porte. Hannibal était si grand stratège que dès qu’un danger menaçait Rome, les sénateurs criaient cette phrase.

[36] Frère supérieur d’un monastère orthodoxe ou catholique de rite oriental, équivalent du père abbé.

[37] De la nature.

[38] Juste.

[39] Conservateur du trésor.

[40] Administrateur.

[41] Hymnes du matin.

[42] Première église d’un monastère orthodoxe.

[43] Chaire en bois depuis laquelle l’imam fait son sermon.

[44] Les lecteurs les plus curieux pourront constater par eux-mêmes dans nombreuses chroniques que c’est en effet aux environs de cette date qu’eut lieu le plus grand tremblement de terre subi par le monastère Sainte-Catherine dans son histoire.

[45] Récit en vers, anonyme, qui, en 1150, fut l’un des premiers récits en langue française, à une époque où l’on écrivait plutôt en latin.

[46] Roman de Chrétien de Troyes, 1170.

[47] Évêque de Césarée, en Palestine, au IV^e siècle, qui était auteur et théologien chrétien.

[48] Religieux suivant les traces de Nestorius, patriarche de Constantinople du V^e siècle, considéré comme hérétique car il affirma que deux personnes coexistaient en Jésus-Christ, l’une divine et l’autre humaine, thèse infirmant le dogme du Theotokos justement si cher aux moines de Sainte-Catherine…

[49] Ainsi nommait-on l’école philosophique d’Aristote car, selon la légende, il avait l’habitude d’instruire ses élèves en marchant avec eux autour de son école à Athènes (peripatein, en grec, signifie « se promener »). On comprend aussi pourquoi le mot désigne également les femmes pratiquant « le plus vieux métier du monde » et pour lesquelles, on s’en souvient, Andreas avait une grande sympathie.

[50] Le Caire (littéralement, La Victorieuse).

[51] Ce manuscrit a aujourd’hui disparu ; il ne nous reste que quelques fragments de la copie qui en fut faite au XI^e siècle.

[52] Dans le même temps, nous arrivâmes à pied en un certain endroit où les montagnes, parmi lesquelles nous voyagions, s’ouvraient et formaient une vallée infiniment grande, assez plate et extraordinairement belle, et au-delà de la vallée apparut le Sinaï, la montagne sainte de Dieu.

[53] Cela est aussi la même vallée à la tête de laquelle se trouve l’endroit où, alors que saint Moïse nourrissait les troupeaux de son beau-père, Dieu lui parla par deux fois depuis le Buisson ardent.

[54] Le lecteur notera ici que le mot monasteria, qui est le pluriel de monasterium (lui-même issu du grec monastêrion), ne désigne pas un monastère comme on l’entend aujourd’hui, mais des « cellules », habitats individuels des moines dans les premiers temps de la chrétienté.

[55] Cela est le buisson dont j’ai parlé plus haut, depuis lequel Dieu parla à Moïse dans le feu, et celui-là même est situé à cet endroit à la tête de la vallée où sont de nombreuses cellules et une chapelle. Il y a un jardin très agréable devant la chapelle, qui contient une eau abondante et excellente, et le Buisson lui-même est dans ce jardin.