REMERCIEMENTS

Tenter de devenir Madame Bâ n'était pas une mince affaire. D'innombrables voyages me furent nécessaires et bien des lectures.

Ceux qui veulent en savoir plus sur la très riche culture soninkée liront avec bénéfice et passion : La société soninké, Éric Pollet et Grâce Winter, éditions de l'université de Bruxelles, 1971. Parlons soninké de Christian Girier, Paris, L'Harmattan, 1996.

Sur des points plus particuliers ils pourront aussi consulter le beau livre d'Adamé Bâ Konaré Parfums du Mali, éditions Cauris, 2002, et l'article d'André-Marcel d'Ans : « Être forgeron dans le Mandé », Revue de FACCT, 1992.

 

Mais je dois d'abord ce livre à toutes celles et ceux qui, au cours de ces années de recherche, m'ont, à un titre ou à un autre, apporté leur aide. Notamment Jean-Pierre Brard, Joël Calmettes, Hawa Camara, Catherine Clément, Christian Connan, Jean-Pierre Cot, Jean-Baptiste Cuisinier, Yves de la Croix, Demba Diabira, Habib Diouf, Jacques Forgeas, Christophe Guillemin, Jean-Pierre Lafon, Frédéric Lenica, André Lewin, Pierre Maurice, Pierre Moussa, Nicolas Normand, Laurence Paye-Jeannenney, Christian Saglio, François Stasse, Jean-Claude Thoret, Pierre Luc Vacher.

Sans oublier mes amis de l'ADCYF (Association pour le développement du cercle de Yélimané en France), de l'Association des Femmes maliennes de Montreuil et de l'Office montreuillois des relations internationales.

Avec une mention particulière pour :

Kamel Benmeddah, conseiller du maire de Montreuil (Jean-Pierre Brard) : il m'a grand ouvert les portes de sa ville, tête de pont du Mali en France.

Douga Cissé, président de l'ADCYF. Je lui dois en grande partie ma connaissance et mes connaissances du Nord-Ouest du Mali.

Ibrahim Litny, économiste de talent, pour l'heure, conseiller de l'USAID. Il m'a fait ce cadeau rare : m'inviter dans sa culture et me faire découvrir son royaume : l'Adrar des Iforas.

Modu Dièye, c'est grâce à ce guide attaché au campement d'Habib Diouf dans le parc du Djoudj que j'ai avancé dans la connaissance des oiseaux migrateurs.

 

Je saisis cette occasion pour saluer ma famille d'Afrique, mon frère Hamidou Sali et mes deux sœurs Henriette Diabaté et Aminata Traoré. Ce que je leur dois à tous les trois pour le livre et pour le reste et depuis si longtemps ne peut s'exprimer.

 

Mes confrères écrivains me jalousent le regard de mes éditeurs Claude Durand, Jean-Marc Roberts et Denis Maraval. Je peux leur confirmer qu'ils ont raison.

Qu'est-ce qu'un manuscrit sans fées ? Madame Bâ eut les siennes : Charlotte Brossier et Liliane Rodde.

Enfin pardon à ma famille française. Ce n'était pas facile tous les jours de partager la vie d'un petit quinquagénaire parisien qui se prend soudain pour une Africaine presque géante. À tous et toutes du fond du cœur, merci.

Madame Bâ
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