Clifford Simak : BRIKOL’AGE
L’ennui, avec les robots, c’est qu’ils sont construits pour faire toute chose à la perfection. Ce qui ne laisse pas à l’homme un grand champ d’activités. Du coup l’on s’adonne par goût, par besoin de tuer le temps, à toutes les formes de bricolage concevables, de la chirurgie (sur soi-même de préférence) à l’électronique. On commence par vouloir monter un chien et on se trouve en possession d’un robot. Et de quel robot ! Un prototype qui a pour fonction de fabriquer d’autres robots. Alors on se retrouve un peu dans la position de l’apprenti sorcier. Et les ennuis s’accumulent…