Le premier tome de La Fille du Pasteur Cullen a remporté un vif succès au Québec et en France. Des dizaines de milliers de lecteurs ont succombé à ses charmes. Intrigues, amours, portrait d'époque richement documenté... tout y était pour qu'on le dépose à regret, pressé d'en connaître la suite. La voici enfin ! Sonia Marmen revient en force avec un second tome aussi étonnant qu'émouvant. Elle nous plonge dans la vie des membres de la famille Seton, en plein XIXe siècle, captivante période où la liberté devient l'enjeu de toutes les luttes.<

Embauchée après huit années d ́études supérieures dans une mairie de province, Zoé Shepard a vite déchanté. Dans un univers où incompétence rime avec flagornerie, ses journées sont rythmées par des réunions inutiles, des rapports à rédiger en dix jours quand deux heures suffisent, des pots à tout-va, des heures à potiner à la machine à café, des chefs « débordés » par les jeux en ligne... Dans la fonction publique, les 35 heures, c’est plutôt en un mois.

<

Ces deux textes, inédits en France, sont parus en 1974 dans les revues finlandaises Åland et Finland.

<

SUMMARY: Pour sauver sa fille, Hazel Bannock est prête à tout. Y compris à enfreindre la loi. Hazel Bannock est à la tête d'un empire pétrolier. Alors que son yacht se trouve dans l'océan Indien, il est détourné par des pirates somaliens qui massacrent une partie de l'équipage. Hazel n'était pas à bord, contrairement à sa fille de dix-neuf ans, Cayla, qui est prise en otage. Une rançon faramineuse est demandée en échange de sa libération. Pour convaincre Hazel, les ravisseurs lui font parvenir des vidéos montrant les tortures que subit Cayla au quotidien. Désespérée, Hazel comprend qu'elle ne pourra pas compter sur la diplomatie pour sauver sa fille. Elle décide de faire appel à Hector Cross, ancien membre des forces spéciales britanniques. Ensemble, ils vont mettre au point une opération commando pour libérer Cayla, dont la vie ne tient plus qu'à un fil... Avec ce thriller au suspense implacable, inscrit dans un contexte géopolitique très actuel, le maître du roman d'aventures n'a pas fini de nous surprendre. Une lecture pour les amateurs d'adrénaline.<

Une incroyable nouvelle parvient à Charles d'Harcourt : Eloise, sa douce fiancée qu'il tient pour morte depuis sept ans, serait vivante ! Vivante mais prisonnière au pays du Mal où, dit-on, sorciers et dragons règnent en maîtres, vivante mais métamorphosée, pervertie peut-être par quelque magie. En son château perdu, Charles n'a que peu d'hommes mais il sait leur bravoure, et que les trolls et les elfes l'aideront. Ils croient marcher vers une terre dangereuse, ils ignorent qu'ils vont pénétrer dans un autre monde...<

Après ses aventures dramatiques dans Les Enfants du crépuscule, Peggy Mitchum, plongeuse professionnelle, a acquis une fausse épave sous-marine qu'elle fait visiter aux tourristes. Tous serait enfin idyllique si son nouvel amant n'était pas si enfantin, si des hommes fous de vengeance ne cherchaient pas à la débaucher pour attraper un requin et si elle n'avait pas trouvé une étrange capsule dans l'épave...<

Basilica est une ville dirigée par les femmes, dans laquelle culture et tradition sont les maîtres mots. Les hommes ne peuvent y résider que sur l'invitation expresse de leurs compagnes. C'est pourtant l'un deux, volemak, qui reçoit de surâme, l'ordinateur-dieu veillant au bien-être du monde, une vision d'apocalypse : Basilica, et, au-delà toute la planète Harmonie, sont sur le point de disparaître dans un déluge de feu. Mais à cause de quoi ? Ou de qui ? Alors que les tensions politiques grandissent entre les différentes factions de Basilica, Nafai, le benjamin de Volemak, s'efforce d'aider son père dans la quête de la vérité. Mais il semblerait que Surâme ait d'autres ambitions pour l'adolescent...

<

Cécile, adolescente de 17 ans est enfin en vacances. Elle les passe avec son père et son amie, Elsa, dans une villa au bord de la Méditerranée. Elle flirte avec Cyril, un voisin, qui a quelques années de plus qu'elle. Des vacances heureuses, jusqu'à l'arrivée d'Anne que son père a invitée.

Déstabilisée dans ce nouveau quatuor, Cécile décide d'agir et de semer le trouble parmi ces adultes.

Elle les observe, met au point des stratagèmes, des scénarii autour d'elle dont elle ignore l'impact. Elle parvient parfaitement à manipuler ce petit monde autour d'elle, même Cyril, toujours avec un certain détachement.

<

Brûlée vive parce qu’ « on » l’avait vue parler à un garçon ! Souad est née en Cisjordanie. Très tôt elle a appris que la vie des filles ne comptait pas. Sa mère a mis au monde un seul garçon, au milieu de plein de filles. Dès qu’une fille naissait, elle la tuait. « Avec une couverture en laine, elle l’étouffait. Je l’ai vu de mes propres yeux, murmure Souad. Cela se faisait devant tout le monde » Cette mère mariée à 14 ans avec un homme de 40, il ne parlait jamais. Soumise, elle travaillait sans cesse. Les filles travaillaient, dès leur plus jeune âge, sous l’autorité d’un père violent. Un soir, alors qu’elle a 17 ans, enfermée dans une pièce de la maison familiale, elle entend la voix de son père. Elle doit mourir, dit-il. Personne – ni sa mère, ni ses sœurs, ni son frère- ne bronche. L’honneur de la famille est souillée, martèle le père, un voisin affirme qu’il l’a vue parlez avec un garçon et la rumeur commence à se répandre. Selon la tradition, il faut la tuer au plus vite puis exhiber son cadavre : l’honneur sera lavé … Qu’est-ce que le crime d’honneur ? L’assassinat par les parents de leur fille soupçonnée de n’être plus vierge. 10 000 jeunes filles sont tuées chaque année dans le monde par leurs parents, pour venger l’honneur familial. Moyen-Orient, Pakistan, Brésil, Nigeria …la liste est longue des pays qui tolèrent cette coutume sociale, car la foi ne punit, pas les assassins du crime d’honneur. Souad est la seule survivante connue, victime directe de crime d’honneur, elle accepte aujourd’hui de témoigner pour que nous prenions conscience de l’horreur de ces crimes d’honneur impunis ; pour les filles victimes de cette atroce coutume. Au risque de sa vie… si sa famille apprend que Souad est en vie, il lui faudra absolument la tuer, maintenant.<

Eclate une tempête et la réalité se fissure ! Avant-goût d'apocalypse.. . De la brume surgit une horreur blême, créature monstrueuse aux pieds cornés qui attaque un supermarché... Défi de la nature déchaînée ou fantaisie inquiétante de l'imagination ? Glacé de peur, David croit rêver. Et à tout prendre, il vaudrait mieux que sa stéréo mentale soit déréglée... Mais il est des voix pour murmurer le nom de Shaymore et du projet Pointe-de-flèche... Et s'ils avaient ouvert un trou donnant directement dans une autre dimension ? Ils ? Les ennemis. Ne sont-ïls pas partout ? A nos trousses. Ombres diligentes, messaggers anonymes, prêts à nous faire la peau... Fadaises ? Délire paranoïaque parlait ? Chacune de ces nouvelles révèle l'envers hallucinant d'un décor qui nous est familier.

<

Un père et une mère se déchirent sous l'œil ironique de leur enfant, dont la seule présence les empêche d'admirer librement l'œuvre qu'ils contemplent : impossible de dire " c'est beau face " au regard hostile du fils, qui paralyse ses parents. Effet de mai 1968, bandes dessinées contre musées ? Refus de l'autorité ? La culpabilité parentale prend ici des proportions énormes. La pièce met ainsi en scène une perpétuelle quête de l'auteur : l'objet, l'enfant, le conjoint, quête qui n'aboutit jamais. On est puni à vouloir trouver ce que cachent les mots les plus simples. Cette œuvre comique se moque donc du jugement esthétique émis par trois personnages. Mais la farce sur le langage cache le drame de l'incommunicable, du dialogue comme lutte, du langage comme trahison.

<

De retour, après vingt-sept années, dans leur petite ville de Derry, les membres du " Club des ratés " (ainsi se nommaient-ils eux-mêmes sur les bancs de l'école) doivent affronter leurs plus terrifiants souvenirs, brutalement ressurgis. Ça : nul ne sait nommer autrement la chose inconnue qui semble devoir se réveiller cycliquement dans les entrailles de la ville, pour semer la mort et l'épouvante. Roman de l'enfance, tableau saisissant de la vie américaine, cette œuvre ambitieuse est une parabole du Mal enfoui, refoulé, et de la violence de ses réapparitions. C'est enfin, et surtout, une des plus grandes œuvres de Stephen King, un festival de terreur.

<

C'était une planète vivante. Un gigantesque œuf de pierre flottant dans la nuit du cosmos et qui abritait depuis des millénaires une bête dont on ignorait jusqu'à la forme. Jour et nuit, tous ceux et celles qui vivaient à la surface de la coquille écoutaient avec angoisse les griffes de l'animal gratter le sol sous leurs pieds. C'était une planète terrifiante, qui n'épargnait pas même les morts. On l'avait surnommée La Dévoreuse.

<

Rien de plus varié que les rituels funéraires des planètes habitées. Mais pour la Compagnie Intergalactique de Pompes Funèbres, il n'existe aucun cérémonial, si compliqué soit-il, dont elle ne puisse s'acquitter. Du moins en principe. Et sauf erreur... Comme celle qui consiste à expédier à la mauvaise adresse et sous la mauvaise étiquette un produit destiné à développer autour du cadavre un agglomérat cristallin indestructible. C'est ce qui s'est passé sur la planète Sumar, où de gigantesques ruminants, les thomocks, ont été vaccinés avec ledit produit. Dépêché sur Sumar par la C.I.P.F. pour rendre compte de la situation, David débarque dans un monde en pleine métamorphose auquel les autochtones tentent de s'adapter, ajoutant leur folie à celle du paysage.

<

Fun books

Choose a genre