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Voici l'un des chefs-d'oeuvre incontestés de la science-fiction, par l'un des plus grands écrivains américains de fantasy et de science-fiction, Gene Wolfe.
Loin de la Terre, deux planètes sœurs, Sainte-Anne et Sainte-Croix, ont été colonisées par des Français qui ont détruit la population indigène de la seconde. Des décennies plus tard, un ethnologue, le Dr Marsh, s'efforce de retrouver des traces de cette culture effacée, oubliée, passée au rang de mythe et qu'une culpabilité ancienne tend à refouler dans l'imaginaire.
Sous trois angles différents, Gene Wolfe éclaire cette résurrection. Un grand livre qui démontre que la science-fiction est aussi de la littérature.
Les martiens attaquent... Voici l'un des premiers classiques du «space opera» en science-fiction moderne. Vous connaissez tous ce grand roman, récemment à nouveau adapté au cinéma. Voici un petit extrait pour vous «mettre en bouche», une vivante description de ces affreux martiens...: «Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines - à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'odorat - mais possédait deux grands yeux sombres, immédiatement au-dessous desquels se trouvait une sorte de bec cartilagineux. [...] En groupe autour de la bouche, seize tentacules minces, presque des lanières, étaient disposés en deux faisceaux de huit chacun...»<
Sur le Trône du Dragon siège depuis cinq cents ans le Souverain des nations humaines ; le Roi de l'Orage évincé n'est plus qu'un mort vivant qui attend sa revanche. Quelques humains, réunis dans la Ligue du Parchemin clandestine, n'oublient pas la prophétie : celui qui rassemblera les Trois Épées (Peine, Minneyar, Épine) gagnera le pouvoir sur le monde. Mais Élias, le nouveau roi, est sous l'emprise de son conseiller Pryrates, qui, au cours d'une cérémonie magique, lui fait remettre Peine, l'épée grise : aussitôt la sécheresse et la peste s'abattent sur le royaume. Les princes sont troublés : Josua, frère cadet d'Élias, se réfugie dans sa place forte de Naglimund ; Miriamélé, fille du Roi, part pour Naban demander de l'aide pour Josua. Élias prend Naglimund avec l'aide magique du Roi de l'Orage. Quant à Simon l'orphelin, il prend Épine, l'épée noire, au dragon blanc qui la gardait. Baigné du sang de la bête, il s'évanouit, se réveille chez les Trolls de Yicanuq...<
From Publishers Weekly
The original version of this immensely engaging, painstakingly composed journal about a provincial doctor who makes house calls was hailed in France upon its publication in 1997. Like the physician whose logbook it describes, Winckler, the nom de plume of French author Marc Zaffran, is a general practitioner who, according to the publisher, has chosen writing as his preferred method of helping sick people. Bruno Sachs, "single-minded, hypermoral, kind of jerky," sets out his shingle in the small French town of Play because it needs a doctor and his abiding ambition is to obey the Hippocratic Oath. The journal is made up of discrete chapters or vignettes written in the unassuming voices of his patients, mostly farmers and small tradespeople, employees and family members. Throughout, Sachs is referred to as "You," e.g., "You're a good guy and you're very clear, but I do think you ask some questions that are a little too personal." Sachs's "part-shrink part-father-confessor" manner wins the trust of his flock, whose litany of physical torments gradually plunges him into a paroxysm of grief and pity. He is especially sympathetic to the needs of women; he gives them abortions at the clinic, and eventually falls in love with his patient Pauline Kasser. Above all, Sachs is a good listener, and it is by this gift alone that he often comes to the heart of a patient's suffering. Sachs finds true love with Pauline, who in turn encourages him to heal through writing. There is no unifying, cohesive drama to the novel save in the personality of Sachs, but rather a series of deeply felt leitmotifs (smoothly translated with the American reader in mind). As Sachs opens himself to the inexorability of human misery, Winckler allows glimpses into the doctor's personal notebooks and confessions, thereby completing his affecting portrait of a fallible and saintly fellow tortured by his powerlessness to turn back death. (Oct.)
Copyright 2000 Reed Business Information, Inc.
From Library Journal
Bruno Sachs is a French country doctor, but don't mistake him for a Gallic Marcus Welby. This doc is a paradox: cynical but compassionate, emotional yet reserved, reassuring but troubled. His personality is revealed bit by bit in over 100 short chapters as related by his patients and associates. He cares deeply about them and a few close friends but seems remote and unfulfilled until he falls in love. The episodic structure seems choppy at first, but over time several subplots develop, and a variety of different patients are portrayed in some detail. This book is simultaneously a powerful critique of modern medicine by a former country doctor, a realistic romance, and a fascinating character study. Published as La Maladie de Sachs in 1997, this book was a French best seller and the winner of the Prix du Livre Inter. Highly recommended for both public and academic libraries.DJim Dwyer, California State Univ., Chico
Copyright 2000 Reed Business Information, Inc.
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Une nouvelle exclusive pour le Cercle Reader.<
Présentation de l'éditeur
Mathilda Gillespie parlait trop, buvait trop et terrorisait son entourage. Elle était richissime, avare et fabulatrice. Sa fille se droguait, sa petite-fille la volait. Son testament, ignoré de tous, les déshéritait. On la retrouva noyée dans sa baignoire, enguirlandée d'asters et d'orties blanches, comme Ophélie, et affublée d'une muselière en fer rouillé, comme une sorcière médiévale. Ce suicide, ou plus vraisemblablement ce meurtre, était une sorte de chef-d'œuvre, une énigme résultant d'une vie entière de mensonges, d'amours étranges, de haines et de violence. Seul le journal intime de Mathilda pourrait peut-être en livrer tous les secrets. Mais ce journal a disparu.
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Sur le Trône du Dragon siège le Souverain des nations humaines. Le Roi de l'Orage évincé n'est plus qu'un mort vivant qui attend sa revanche. Quelques humains savent que celui qui réunira les Trois Épées régnera sur le monde ; ils forment la Ligue du Parchemin clandestine. Élias, le nouveau Souverain, est sous l'emprise de son conseiller Pryrates, qui lui fait remettre Peine, l'épée grise. Aussitôt le royaume est frappé par la sécheresse et la peste. Josua, frère d'Élias, se réfugie sur ses terres ; chassé par la magie du Roi de l'Orage, il se replie dans la forêt où Géloé, la femme-sage, lui conseille d'aller à la Pierre de l'Adieu, lieu sacré des Sithis.<
D'un côté, les fourmis. Elles se demandent si nous sommes des monstres géants ou des dieux infinis.
De l'autre, nous, les hommes. Au mieux, nous sommes indifférents à ces êtres minuscules. Au pire, nous nous acharnons à les écraser.
Pourtant, après des millénaires d'incompréhension, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont peut-être se rencontrer,
se comprendre, se connaître enfin.
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Depuis des millénaires monte sur les quatre mondes la sourde plainte des pauvres menschs persécutés par les demi-dieux. L'univers est devenu un piège : le Nexus vient d'être incendié par les serpents-dragons : les Patryns, refolés dans le Labyrinthe, luttent pour ne pas s'y laisser enfermer.
Quant au Seigneur du Nexus, il est à Nécropolis et veut savoir où est la septième porte. Mais ni Haplo, torturé à mort, ni Alfred ne passent aux aveux. Car Haplo a un plan, et Alfred le connaît : il communique encore avec le corps inerte de son vieil ami. Quand la bataille finale s'engage, l'enjeu n'est pas seulement la victoire, mais la place qu'occuperont les combattants à l'instant où sera détruite la septième porte.
Certains auront l'avenir devant eux. Quant aux autres, eh bien il leur restera l'éternité pour y penser.
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L’heure de l’affrontement final a sonné.
Dans le labyrinthe des souterrains du Hayholt, la forteresse imprenable devenue sanctuaire des forces du mal, Simon Mèche-Blanche et ses compagnons progressent à grand-peine. Car c’est au cœur même de la citadelle qu’il leur faudra livrer la dernière bataille. Là, le destin de Simon se décidera, la rivalité entre le prince Josua Mainmorte et son frère Élias l’usurpateur trouvera sa résolution, les trois épées magiques Épine, Peine et Clou-Radieux livreront enfin leur secret.
Le compte à rebours commence, et à son terme, la terre d’Osten Ard sera sauvée… ou bien sombrera dans le chaos ultime.
Voici la conclusion grandiose de l’immense saga de l’Arcane des épées, qui n’a cessé de gagner des lecteurs enthousiastes depuis la parution de son premier volume en 1994. Le cycle de Tad Williams compte désormais parmi les grandes œuvres de la Fantasy, un classique du genre capable de rivaliser avec Le seigneur des anneaux.
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Retrouvé dans les manuscrits difficilement déchiffrables (les " microgrammes ") laissés par l'auteur, ce " roman " écrit en quelques semaines pendant l'été 1925 résume tout l'art et toute la personnalité de Walser. Le " brigand " qui en est le héros n'est autre que l'auteur lui-même, ce marginal inoffensif sévèrement jugé par la société, et qu'un narrateur faussement naïf tente de voir de l'extérieur. Les amateurs de ses autres romans (Le commis, Les enfants Tanner, L'Institut Benjamenta), comme ceux de La promenade ou de La rose, adoreront ce roman qui refuse d'en être un, et qui est sans doute la plus belle réussite de Robert Walser.
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Pour avoir sauvé des brigands la fille du comte de Blois, l'écuyer Thibaut de Sauvigny est adoubé chevalier. Amoureux de la belle, sa pauvreté ne lui permet pas de l'épouser. Mais une nouvelle menace guette : Éléonore comprend que sa propre soeur veut sa mort ! Cette fois, la seule alliée des jeunes gens sera la fée Hadelize. S'ils la trouvent à temps...
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Les
maigres forces du roi déchu Josua Mainmorte semblent devoir céder sous les
assauts d’Ineluki le Roi de l’Orage et de ses séides maléfiques. Au cœur du
pouvoir, dans le secret du château du Hayholt, c’est maintenant l’odieux
Pryrates le Prêtre Rouge qui tire les ficelles du royaume, et prépare
l’écrasement final des opposants au règne de terreur absolu d’Ineluki.
Une
seule solution semble se dessiner pour Simon Mèche-blanche et les derniers
partisans de la Ligue du Parchemin : aller défier les maîtres du mal dans
leur place forte. Mais n’est-ce pas là une tâche impossible pour une armée si
frêle ?
Tandis
que les événements se précipitent et que le siège du Hayholt, forteresse
réputée imprenable, s’annonce, Simon sait qu’il lui faudra percer le secret des
épées magiques, ou que mourra avec lui tout espoir de sauver la Terre d’Osten
Ard.
L’arcane
des Épées, compte aujourd’hui parmi les grandes œuvres de la Fantasy, un
classique du genre où forces destructrices et héros valeureux s’affrontent en
une bataille titanesque. Tad Williams a gagné grâce à ce cycle puissant sa
place au premier rang des conteurs de la Fantasy, aux côtés de Tolkien, David
Eddings ou Robert Jordan.
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L'Interzone. Un territoire qui ne figure sur aucune carte, situé quelque part entre New York et Tanger, dédale infini de mes semblable aux méandres du cerveau d'un drogué.
Un lieu fantomatique, où se réfugie William Lee après avoir accidentellement tué sa femme. Persuadé d'être un agent secret au centre d'une gigantesque machination, Lee commence à rédiger des rapports pour le compte d'une mystérieuse corporation internationale, communiquant avec elle par l'intermédiaire d'une machine à écrire fort loquace qui se transforme volontiers en cafard...
Vertigineuse descente aux enfers de la drogue - de toutes les drogues -, le chefs-d’œuvre de William Burroughs est d'une veine à la fois terrifiante, macabre, et d'un comique presque insoutenable.
Le festin nu a été porté à l'écran en 1991 par David Cronenberg, le réalisateur de Yideodrome, Faut-semblants et Crash.
Sus aux Doigts ! Exterminez-les tous ! C'est à ce mot d'ordre donné par la nouvelle reine des fourmis que s'ébranle la croisade prificatrice du monde afin d'exterminer tous les hommes. Parrallèlement, le commissaire Méliès est amené à enquêter sur les meurtres horribles et mystérieux de plusieurs grands scientifiques.
Voici comment, dans ce passionnant roman, deux mondes, celui des hommes et celui des fourmis, vont au travers de ces deux histoires, après moult rebondissements, converger et se confondre. Ce thriller implacable, au suspens haletant, où se mèlent l'aventure, le fantastique et la réflexion nous apporte un grand nombre d'informations sur le monde, à la fois si proche et si lointain, des insectes.
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Tandis que l’ombre d’Ineluki, le Roi de l’Orage, s’étend peu à peu sur Osten Ard, et que le Roi souverain Elias et son âme damnée, Pryrates le prête rouge, assurent leur domination sur le royaume, les chances de ceux qui veulent encore s’opposer à eux s’amenuisent. Simon, Binabik et Sludig ont trouvé Epine, l’une des trois épées qui, réunies, pourront défaire Ineluki, mais les voici maintenant confrontés à la sorcière Skodi. Quant à leurs alliés, leur situation n’est guère plus réjouissante. Il leur reste néanmoins un espoir rejoindre la Pierre de l’Adieu, d’où ils pourront organiser la résistance. Mais il leur faudra pour ce faire traverser bien des épreuves, et peut-être trouver de nouveaux alliés certaines des forces en présence n’ont pas encore choisis leur camp.<
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